Idéologies politiques modernes : Les socialismes. Fiche de sciences politiques de 14 pages
Contrairement au fascisme, le terme de socialisme est bien moins péjoratif et même positif. De plus, ce terme est récent, il apparaît pour la première fois en 1831 : à l'époque on oppose le socialisme (la première place est donnée au groupe) à l'individualisme.
S. I ? Le socialisme du XIX°s,
S. II ? MARX.
[...] Pelloutier est contre. Il faudra attendre sa mort en 1901, pour que les Bourses du Travail rejoignent la CGT : au sein des organes décideurs, il y a d'ailleurs moitié-moitié. Georges SOREL (1847-1922) est difficile à classer. Il prétendait essayer de rendre compatible (conciliation intellectuelle) la pensée de Marx et de Proudhon, bien que cela paraisse impossible. Il y a aussi la volonté d'intégrer une dimension sociologique dans son analyse, avec l'analyse du collectif. Il a été influencé aussi par Gustave LE BON qui est lui aussi un peu ambigu, car il développé des analyses sur La psychologie des foules : les gens en foule ont des réactions qu'ils n'auraient pas forcément en étant seuls. [...]
[...] Une volonté de maîtrise de l'économie de la part des pouvoirs publics, avec une idée de justice sociale et une notion d'encouragement à la production. S. I Le socialisme du XIX°s, Il y a deux thèmes : l'égalité sociale et le développement économique. A L'égalité sociale Gracchus Babeuf. Ce thème va d'abord être présent chez Gracchus BABEUF (Marx s'en est un peu inspiré) : ce prénom qu'il s'est donné renvoie à l'histoire romaine, cad aux frères Gracch qui avaient voulu faire une révolution agraire. Il a vécu de 1760 à 1797 : jugé, condamné, exécuté. [...]
[...] La religion retarde la mobilisation des prolétaires, donc il faut la combattre, bien que la mobilisation des prolétaires est inévitable. L'aliénation de la philosophie. Il oppose la praxis orientée vers l'action à une réflexion abstraite. L'aliénation politique. C'est la dénonciation de l'Etat, comme Hegel. Pour Marx, l'Etat est un organisme destiné à protéger la classe exploitante. L'Etat est utilisé par et pour la bourgeoisie. Le moment venu, il laissera place à l'Etat prolétaire et quand la lutte des classes aura disparu, il n'y aura plus besoin de cet appareil de contrainte qu'est l'Etat. [...]
[...] Ils auront un bon budget permettant de payer les ouvriers, mais malheureusement on est incapable de leur fournir un travail de petits groupes adaptés. On les affecte à des travaux de terrassement, de plantation, qui trouvent vite leurs limites. Il n'y a plus de travail, bien que les fonds soient là et la demande aussi. Ce système a des effets catastrophiques sur l'opinion publiques car ces ouvriers attendent aux quatre coins de Paris leur rémunération : on nourrit les gens à ne rien faire. [...]
[...] Pour lui, tous les gouvernements se valent : Le gouvernement du peuple sera toujours l'escamotage du peuple. en réalité dans le cadre de la démo on propose une liste de candidats et ce n'est pas forcément ce que souhaite les gens. Il refuse tout autorité. Autosuffisance. Pour lui, il y a toujours assez pour tout le monde. Pas besoin de la loi de la concurrence, ou de la loi de l'offre et de la demande. Le système qu'il préconise, ce sont des accords mutuels et il faut faire une sorte d'énorme bourse avec tout ce que chacun possède. [...]
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