Histoire de la vie politique française, Suffrage Universel, organisations partisanes, République, organisations socialistes et ouvrières, droites extrêmes, syndicalisme
Etat fort et faiblesse de la société civile : Etat omnipotent conjuguer à des Français peu aptes à s'organiser eux-mêmes. Prééminence excessive de l'Etat. L'Etat social est arrivé tardivement (laissé à la charité).
Le concours, l'intérêt général et le fonctionnaire à la Française : Recrutement de fonctionnaires neutres, au service de l'intérêt général, recrutés sur concours. Mais le système de concours ne sert pas à sélectionner la majorité du personnel administratif. La neutralité des fonctionnaires bute sur la réalité que les jeunes diplômés des grandes écoles partent dans le domaine privé.
[...] Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n'entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale exprimée par ses organes constitutionnelles C'est une doctrine non écrite qui stipule que le président n'utilisera pas son droit de dissolution mais s'il en est constitutionnellement autorisé. II. Les radicaux dans la république 1. Les républicains : Couches nouvelles ou nouvelles bourgeoisie ? Dans un discours de septembre 1872, Gambetta évoque les couches sociales nouvelles. Il les définit comme de nouveau milieux sociaux. Il va proposer à ces couches nouvelles l'instruction comme religion et l'anticléricalisme comme combat Il s'oppose au rôle social de la religion. [...]
[...] La guerre 14-18 va marquer la perte d'identité radicale. Les Français vont se ralliés à l'union sacré autour du gouvernement de droite. La gauche tente une alliance : la carte des gauches qui va gagner l'élection électorale de 1924. Le 06/02/1924, une émeute populaire conduit les ligues d'extrêmes droite à chasser du pouvoir le gouvernement radical de Daladier et précipite le radicalisme dans une crise profonde. Le front populaire et Léon Blum prenne le pouvoir. Le radicalisme est devenu plus rural, d'avantage ancré dans les classes moyennes, commerçants et artisans. [...]
[...] Du principal parti de la libération à l'enjeu de la survie et des alliances Parti dominant et marginalisé sous la IV république : Prestige de la résistance et présence d'intellectuels. Proximité avec le syndicat de la CGT, antiaméricanisme et mobilisations hostiles à la guerre à fin des années 60 : Les législatives de 58 marquent un reflux de voix communistes. Opposition à la politique Algérienne. Dénoncé comme un nouveau fascisme (renforcer les monopoles). Rejet de mai 68, lassé de voir les étudiants parler au nom des ouvriers. Tentative de passage à un socialisme en 1986 : Communisme à visage humain. [...]
[...] L'Etat comme enjeu croissant de lutte La lutte pour l'accès au pouvoir d'Etat est ce que Bourdieu appel le champ du pouvoir C'est un espace de concurrence pour avoir accès à l'Etat. La lutte politique est devenue une lutte pour la conquête de l'Etat. La concurrence s'intensifie car le nombre de personne concernées et la taille du pays augmente Etre élu / Se faire élire : Un travail d'intéressement à la politique Sollicitation des électeurs : Les hommes politiques vont devoir intéresser / convaincre de façon différente. Transformation des biens politiques offerts : Ce qui se transforme c'est la nature des biens proposés. [...]
[...] Les principaux acteurs sont Hollande, Fabius, DSK et Royal. L'hégémonie du PS à gauche est de plus en plus contestée surtout depuis les élections de 2002. III. Les écologistes en France A la fin des années 60 se développe une contestation en faveur de l'environnement marque le début de l'organisation du mouvement (Brice Lalonde) marque la première candidature d'un écologiste (René Dumont). De 80 à 86 c'est une période de déclin électoral et de structuration partisane. En 1984 fondation des verts. [...]
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