Qu'est ce que la politique?
Ce mot est un terme très ancien, qu'on retrouve en Grèce sous la forme de 'polis' (à la fois la cité et l'état). Pour les athéniens, l'état c'est une souveraineté, un lieu particulièrement défini. C'est une cité-état et c'est un vieux mot, qui est noble mais a subi de nombreux usages.
Le Terme politique a deux principales significations que l'anglais rend mieux que la langue française par deux mots différents :
- Policy : Désigne un programme d'action, une ligne de conduite définie par l'état (politique étrangère...).
- Politics : Le mot désigne aussi un domaine d'activité, un secteur de la vie sociale. C'est d'autant plus important qu'on le voit, on parle souvent d'une classe politique, et de l'autre coté la société civile. Et beaucoup de membres de la société civile hésitent ou ne réussissent pas à rentrer dans la société politique. Ce domaine d'activité à ses règles, ses moyens, ses coutumes, son savoir-faire. C'est la signification centrale, qui pose des problèmes essentiels. Si cette politique au sens profond a une signification centrale, c'est un secteur de la dynamique humaine.
[...] Le fait de participer était important. Les principes de l'ordre politique Légalité et légitimité La légitimité repose sur une autorité qui est fondée sur des bases juridiques ou sur des bases éthiques ou morales, et permet de recevoir le consentement des membres d'un groupe. La légitimité est donc différente de la légalité : est légal ce qui est autorisé par le droit positif existant, ce qui est conforme au texte de la loi; est légitime ce qui est et doit être reconnu comme juste par tous dans une formation sociopolitique déterminée. [...]
[...] Dans ces trois cas, il s'agit d'affirmer que la liberté pour une nation signifie qu'elle dispose du pouvoir d'État. C'est en ce sens qu'elle constitue un peuple souverain Le deuxième élément essentiel dans la conceptualisation du mot «nation» est qu'il s'inscrit d'emblée dans le registre du vocabulaire revendicatif. Que ce soit dans sa version française, américaine ou allemande, le combat pour la «souveraineté nationale» marque le début de l'ère des mobilisations politiques modernes. Les militants doivent avancer des arguments légitimant la souveraineté du peuple au nom duquel ils parlent. [...]
[...] L'homme pour Aristote est un animal politique, qui vit naturellement en société. Aristote dit que celui qui est sans cité est un être dégradé et perdu, au- dessous de l'humanité. L'homme est doté de sentiments moraux qui intéressent les rapports de l'homme avec ses semblables. Cet intérêt commun c'est de vivre dans un bon ordre social et l'homme ne peut vivre parfaitement qu'au sein d'une vie sociale elle-même parfaite. Cette idée de bien commun sera reprise par Thomas d'Aquin. L'état est l'instrument de ce bien commun. [...]
[...] - La période de la Révolution française est essentielle dans l'émergence de la citoyenneté comme fondement de la démocratie nationale. À tel point qu'en France, on dit parfois que c'est l'Etat qui crée la nation alors que c'est le nationalisme qui crée parfois l'Etat dans d'autres pays. - La troisième république : En France, la création de la nation se confond avec le triomphe de la République. La nation s'inscrit concrètement dans des symboles comme l'hymne ou le drapeau bien sûr, mais aussi dans le patrimoine notamment architectural. [...]
[...] Le pouvoir politique est diffus. - Degré 3 et 4 : le pouvoir de médiation est individualisé et permanent. Le pouvoir politique est fractionné entre des autorités aux rôles distincts. - Aux degrés 5 et 6 : le pouvoir politique est concentré et spécialisé. Il peut revenir à un chef, ou à plusieurs chefs obéissant à une hiérarchie interne. - Au degré 7 : le pouvoir politique est fortement individualisé et différencié - Au degré 8 : le pouvoir politique est institutionnalisé et s'exerce au travers d'un réseau de clientèle (états féodaux). [...]
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