sciences politiques, participation politique, scène politique, élection, vote, objet politique, pouvoir politique, manifestations, violence politique, politicien, pouvoir d'état
Cette notion est fortement polysémique et dispose d'un grand nombre de sens. L'objet politique recèle ce que l'on appelle une fluidité sémantique. Si l'on se tourne du côté de l'étymologie, Polis a donné naissance à politique. Cela renvoie à la cité grecque. C'est tout ce qui touche la cité et ses affaires. Aristote définit l'homme comme un animal politique. La politique donc, dans cette perspective est l'art du commandement social, la recherche du bien commun, de ce qui est le mieux pour la société, mais aussi une activité pacificatrice.
[...] Cette coercition constitue le fondement ultime politique, la garantie de l'effectivité de la règle de droit . Violence protestataire qui peut viser la société toute entière. Elle peut être dirigée soit contre l'ordre social et politique, soit contre le régime politique, soit contre les représentants de l'Etat. La violence peut être armée (assassinat, terrorisme), verbale ou matérielle (bloquer à l'aide de camions, de tracteurs entrave au bon fonctionnement des services publics . Violence inter sociale, qui voit s'affronter entre eux différents groupes sociaux. [...]
[...] Devient alors un handicap politique . Mode de désignation interne : au sein des partis, pratique d'investiture dans une logique d'oligarchie et non de démocratie. Progès avce la mise en place des primaires . Accès filtré et différencié aux médias : Les médias aujourd'hui, sont devenus incontournables pour accéder à la posture présidentielle. Il faut acquérir une notoriété, une popularité Création d'inégalités Ces 4 mécanismes jouent un rôle crutiale avant même l'élection, les citoyens ont donc par le vote la possibilités de créer des alternances politiques, ils ont une capacité d'arbitrage. [...]
[...] - L'aptitude à troubler l'ordre public appartient plus aux opposants et encadre des modalités d'action très hétérogènes : cela peut aller des manifestations classiques et pacifiques, aux occupations de bâtiments (mouvement du 22 mars avec Daniel Cohn-Bendit) en passant par des formes plus provocatrices (les Femens), ou allant même à l'extrême avec les incendies, la séquestration de personnes, l'assassinat politique, les attentats terroristes. PARTIE I : LA PARTICIPATION POLITIQUE Participation politique : ensemble des activités individuelles ou collectives susceptibles de donner aux gouvernés une influence sur le fonctionnement du système politique. La forme la plus évidente de participation est le vote, l'élection. [...]
[...] Ils ont la volonté de transmettre son mandat comme un héritage. Fantasme de la suzeraineté. - L'intensification de l'existence : Les candidats sont dans une euphorisation de la personne, un "culte du moi" - Sentiment d'importance : Les candidats type maire ou députés vont s'appercevoir qu'il n'ont pas véritablement de pouvoir en dehors de leur circonscription. On pourrait dire qu'en découvrant le pouvoir, les hommes politiques en éprouvent aussi la dimension illusoire. - Le plaisir de la puissance : Cependant cette envie n'est pas domaine reservé de la politique, elle est partout dans la sphère sociale. [...]
[...] Weber parle de professionnels de la politique en tant qu'hommes qui vivent par et pour la politique. Pour faire de la politique il faut des ressources nécessaire, certaines aptitudes à réussir, mais égalemtn une envie de faire de la politique. Pouvoir faire de la politique : Au 19ème siècle avec le suffrage censitaire la vie politique était dominée par l'aristocratie, les choses vont évoluer avec le SU masculin de 1848, cela entraine l'entrée des masses dans le jeu politique et modifie le jeu politique ainsi que le personnel. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture