Les déterminants sociaux du vote

Résumé du document

Les déterminants sociaux du vote, fiche de science politique de 2 pages idéale pour des révisions d'un oral



La sociologie électorale a essayé d'expliquer le vote, les mécanismes du vote. Les premiers travaux ont été menés pendant la 2GM aux USA, mais surtout après 45. On s'est questionné sur l'identification partisane. En France le vote se conditionne sur le clivage gauche-droite. Le principal modèle est le vote sur clivage sociaux, qui a connu une profonde évolution.

Extraits

[...] Les déterminants sociaux du vote La sociologie électorale a essayé d'expliquer le vote, les mécanismes du vote. Les premiers travaux ont été menés pendant la 2GM aux USA, mais surtout après 45. On s'est questionné sur l'identification partisane. En France le vote se conditionne sur le clivage gauche-droite. Le principal modèle est le vote sur clivage sociaux, qui a connu une profonde évolution Le vote sur clivages sociaux Ce modèle est fondé sur l'idée selon laquelle la politique reflète les sculptures sociales : prolongement de la théorie marxiste. [...]

[...] Pour la 1ère fois, les catho pratiquants sont passés en dessous des 25%. Donc pour la 1ère fois, les non religieux sont plus importants que les religieux. La variable religieuse à toujours les mm effets, mais elle touche une plus petite part de la population. Baisse aussi du clivage de classe : Le nombre d'ouvriers a baissé. (donc mm effet que la variable religieuse). Dans les années 60, les ouvriers sont + de 45% de la population/. Aujourd'hui, seulement 25%. [...]

[...] *à un groupe socio-culturel. Ex : catholiques pratiquants votent majoritairement à droite - Mutation du vote sur clivage Depuis les années 80, on s'accord pour dire qu'il y a une baisse des variables des clivages. Ces variables lourdes parlaient des électeurs captifs Variable religieuse: changement quantitatif : la chute du nombre de croyants et de pratiquants en Europe occidentale affaitblit l'effet religieux sur le vote. Ex en France: la catho pratiquants représentaient jusqu'aux années 80 un quart de la population française. [...]