Cet exposé est une comparaison entre la danse et la religion, on essaie de montrer de quelle façon pendant la colonisation, la religion décide d'adapter ses croyance à la nouvelle culture.
On voit aussi comme les indigènes de l'Amérique latine, font un tribut aux différent 'dieux', en utilisant la musique et la danse.
[...] La danse est lente et les mouvements cérémonieux. Elle représente les coquetteries de la femme à l'égard de l'homme et est très caractéristique du fait qu'il n'y a aucun geste ayant un sens érotique : c'est ce qu'on appelle Vacunao (En el Yambú, no se Vacuna). Le Guaguancó a indubitablement son origine dans le Tambor Yuka. Il est d'origine urbaine (de la havane) ; on y narre des faits anecdotiques sous forme de poésie. A l'heure actuelle, on ajoute à la partie chantée une partie dansée (Rumba de Guaguancó) mais les vieux prétendent que le Guaguancó proprement dit est la partie narrative. [...]
[...] OSHUN : Maîtresse du fleuve, de l'amour, de la maternité, de la beauté, de la richesse, du miel et de l'or. Elle a beaucoup de danses. Ses attributs son un Abebe (éventail) orné de perles jaunes, un miroir, les coraux etc. On la rattache à "la Caridad del Cobre". Sa couleur est le jaune, son métal est l'or. YEMAYA : Divinité de la maternité universelle. Sa couleur est le bleu. Ses attributs son un Abebe fait de plumes de paon, le soleil, une ancre etc. C'est la maîtresse de l'eau salée. Ses danses sont douces imitant les vagues. [...]
[...] Les danseurs se préparent à la danse en changeant leur apparence. Vêtements, et parfois maquillage aux chaussures, sont appropriés, c'est-à- dire qu'ils font reconnaître la danse par métonymie. La jupe serrée haut fendue et les très hauts talons de la danseuse de tango argentin contrastent avec la jupe plissée très large qui devra s'envoler quand les danseuses de cumbia ou de currulao tourneront sur la côte colombienne. D'autres, au Brésil, ne peuvent pas danser que pieds nus pour mieux sentir l'axe (la force vitale transmise par les divinités païennes) qui vient du sol ; les pieds et les jambes nus sont une métonymie de samba. [...]
[...] Le secret de sa force réside dans son rythme, en complète synergie avec le rythme de la vie des personnes qui la dansent, la dance et la musique en Amérique latine rapproche de gens et la valeur communicative de son rythme est fondamentale pour remplir cette fonction. La séduction de la dance et la musique n'abandon pas l'esprit des latinos, même si son âge est avancé. Néanmoins, la sensualité se présente d'une façon différente, plus douce, plus tranquille mais toujours énergique. Bibliographie - le besoin de danser France Schott-Billmann. - Danses latines et identités d'une rive à l'autre Tango, Cumbia, Samba, Rumba, Capoeira. Sous la direction d'Elisabeth Dorier-Apprill. [...]
[...] Puis d'autres danseurs prennent sa place et essaieront de le surpasser. Les experts s'accordent à établir un rapport entre la Columbia et les danses des Diablitos (ou Iremé) de la société secrète Abakwá. A Cuba les relations entre les cubaines et les cubains son parfois détermines par ce deux aspect : dans la mythologie de la santerie, deux divinités représentent les hommes et les femmes de Cuba : Chango, dieu de feu, de la guerre, des éclats, des tambours et de la virilité, et Ochùm, la sainte patronne de cuba, déesse de l'amour, du miel et de la séduction féminine. [...]
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