Christianisme antique et la politique, fiche de philosophie politique classique de 8 pages
Il y a en somme 2 pôles opposés, une décadence évidente de la pratique religieuse et aussi à un effondrement du ritualisme qui encadraient la vie de tous les jours. « L'irrigation à remplacé les rogations (prières pour demander la pluie) ». L'autre pole est la recherche intellectuel, l'interrogation sur Dieu et sur le Christ, de centrer la réflexion sur le Christ.
Section 1 : L'évangile et la politique
Section 2 : Christianisme et politique dans la pensée des apôtres et dans la pensée des pères de l'église
Section 3 : Patrologie et politique au IVème siècle : Saint Augustin
[...] Le christ s'efforce toujours de ne pas aborder directement les pouvoirs politiques. Le Christ enseigne dans une société, cette société c'est la Palestine sous Auguste et Tibère, pays conquis récemment par les Romains. Société patriarcale, agricole, et clanique, de fortes inégalités ou il y a de fortes injustices sociales dont les gens se plaignent. La femme est infériorisé, on ne salut pas une femme par exemple. Les tensions nationalistes à l'intérieur de la Palestine, il y a les juifs qui sont en conflit avec les samaritains. [...]
[...] Une loi disant que tuer un esclave est un crime. L'esclavage va se dissoudre dans l'affranchissement. L'esclavage va disparaître en se dissolvant dans le servage. L'autre thème est celui de la communauté chrétienne qui s'est efforcé de rejeter de façon explicite les différences de race. Les différences de peuples, de classes sociales, sont effacées. Saint Paul dans l'Epitre au Galâtre, dit Vous n'êtes plus ni juifs ni grec ni homme ni femme ni esclave ni homme libre, vous êtes tous dans le christ Les apôtres rejettent enfin une dernière distinction, celle de l'élitisme entre les savants et le masse du peuple. [...]
[...] Le christianisme ne se définit pas comme une philosophie mais se veut comme un système du monde dont la portée se prétend supérieur à celle d'une simple philosophie. Le problème du bonheur et celui de la mort sont les 2 problèmes de la condition humaine. L'humain est un être pour la mort. Il cherche a proposer, poser les problèmes humains sous l'angle de la destinée. La béatitude réside dans la contemplation de Dieu. Contemplation commence par la méditation phase intellectuelle, et au delà il y a la contemplation. Par celle-ci le croyant va trouver le bonheur parce qu'il va rejoindre Dieu. [...]
[...] L'idée la plus importante du christianisme, toute la réalité se fonde sur 2 principes antagonistes, le principe du bien la lumière l'esprit, le principe du mal l'obscurité, le matériel, le corps. Le mal est une absence d'être. Saint Augustin devient professeur de rhétorique à Milan. Il y rencontre Ambroise de Milan, et la prédication de ce dernier la convertit. En 387, il a été baptisé a Milan, en 391, il est ordonné prêtre, en 395 il est devenu évêque d'une ville dénommée Ipône. Il est devenu une sorte de chef de l'église. Il meurt en 430 sa ville assiégé par les vandales. Il laisse une œuvre considérable. [...]
[...] - Saint Hilaire de Poitier, premier grand père de l'église gauloise. - Le premier philosophe chrétiens, Saint Iréné de Lyon, a été martyrisé et mis à mort. - Saint Ambroise de Milan, fils d'un préfet des Gaules, lui-même gouverneur de Milan, résidence d'été des empereurs romains. Les chrétiens de Milan se disputaient sur l'élection de l'évêque, Ambroise vient arbitrer le conflit, mais est élus évêque par acclamation et accepte, il est baptisé, ordonner prêtre, et évêque après. Le Pape lui obéissait. [...]
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