Polyarchie, politique canadienne, approche patriotique, Canada, courant patriotique, Blattberg
Il existe trois grandes façons de penser la justice en politique au Canada. Le courant monarchique, qui propose une vision unifiée du pays, et encourage la plaidoirie afin de régler les conflits. La polyarchie, qui estime que les règlements prônés par le courant monarchique ne s'appliquent pas au monde de la politique, lequel est trop complexe pour être organisé par de simples règles. Enfin, le courant patriotique qui, selon Blattberg, se situe entre les deux écoles de pensée citées précédemment.
La question nous invite à nous pencher plus particulièrement sur le mouvement polyarchique et d'en étudier les forces et les faiblesses, après avoir exposé ses principales caractéristiques. Le courant polyarchique se subdivise en deux écoles : celle de la realpolitik et celle du pluralisme. Le courant patriotique, se situant entre l'approche monarchique et l'approche polyarchique, partage certains aspects avec cette dernière, tout en apportant des nuances fondamentales.
[...] Page Blattberg, Charles Et si nous dansions ? : pour une politique du bien commun au Canada. Page Ibid, page 30- Ibid, page Ibid, page Blattberg, Charles Et si nous dansions ? : pour une politique du bien commun au Canada. Page 29. [...]
[...] Les valeurs sont des régions, des aspects du tout. Le conflit représente un manque d'harmonie entre ces régions.1 III. Critique de la polyarchie personnelle : Lors de mon précédent travail, j'avais déjà entrepris de critiquer l'approche patriotique afin de valoriser celle proposée par la polyarchie, jugeant qu'elle offrait plus de moyens aux individus afin d'agir. Je ne reviendrai donc pas sur ce point pour cette partie. J'aimerais focaliser mon attention sur une question posée par un étudiant lors du cours d'Idées politiques au Canada, que j'ai trouvée particulièrement pertinente. [...]
[...] Au contraire, la conversation amène une meilleure interprétation de la question initiale afin qu'elle puisse englober toutes les parties impliquées.3 De plus, chez les patriotes, il y a une place pour le progrès en politique, car, si on arrive à la résolution d'un conflit donné, on obtient une nouvelle compréhension du bien commun (toujours via la conversation), jugée meilleure dans le sens où le tout s'avère plus intégré qu'auparavant. On tend ainsi vers l'unité. Chez les polyarches, la résolution des conflits se contente de limiter la casse 4. Enfin, pour les polyarchistes, il y a des collisions, des chocs entre les valeurs. On a des atomes qui entrent en collision. Il faut peser le pour et le contre et chercher l'équilibre. [...]
[...] Les forces et faiblesses de la polyarchie au sein de la politique canadienne Question 1 : Fournir une description détaillée des diverses formes de la polyarchie représentée au sein de la politique canadienne. Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Introduction : Il existe trois grandes façons de penser la justice en politique au Canada1. Le courant monarchique, qui propose une vision unifiée du pays, et encourage la plaidoirie afin de régler les conflits2. La polyarchie, qui estime que les règlements prônés par le courant monarchique ne s'appliquent pas au monde de la politique, lequel est trop complexe pour être organisé par de simples règles. [...]
[...] Les forces et les faiblesses de la polyarchie du point de vue d'un patriote : Comme nous l'avions évoqué en introduction, le patriotisme se retrouve à mi-chemin entre la polyarchie et le mouvement monarchiste4. Normal dès lors qu'il partage certains aspects avec la polyarchie, tout en cherchant à s'en distinguer. Le premier rapprochement avec la polyarchie concerne le fait que les deux approches estiment le dialogue comme étant la meilleure réponse aux conflits. Autrement dit, la solution n'est pas de faire appel à une autorité souveraine, comme peut le penser l'école de pensée monarchiste. [...]
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