Relation, bonne, gouvernance, développement, économique, social
La gouvernance est considérée comme la manière dont s'exerce l'autorité au sein d'un Etat donné. Les sociétés humaines ont connu tout au long de l'Histoire un ensemble de mode de régulation, des systèmes autocratiques au communisme, qui ont prouvé leur inefficacité par le passé. L'échec de ces modes de gouvernance est essentiellement dû à leur caractère unilatéral au niveau de la prise de décision, et leur indifférence vis-à-vis de l'individu en tant qu'élément fondamental dont les particularités font la richesse d'une société.
[...] La démocratie par contre en a pris conscience, donnant ainsi à chaque individu la possibilité de s'exprimer librement, créant donc un feed-back au pouvoir, ou ce qu'on pourrait appelé des contre-pouvoirs, qui représentent des moyens de contrôle et d'évaluation permanents au mode de gouvernance central. Sur ces bases, la bonne gouvernance est celle qui garantit un contact perpétuel entre le pouvoir et le contre-pouvoir, qui inhibe la violence et favorise le dialogue comme moyens d'atténuation des chocs et conflits qui peuvent surgir suite à cette rencontre, mais aussi, la bonne gouvernance est celle qui donne de l'importance à chaque individu, valorise sa pensée, et lui donne l'opportunité de maitre en valeur ses compétences et ses acquis au profit de la communauté ; l'Angleterre pourrait être pris comme exemple à ce sujet, car grâce à sa gouvernance participative, ce royaume à réussi son développement économique et social. [...]
[...] Il-y-a aussi une relation possible entre la bonne gouvernance et le développement économique et social, prenons l'exemple de l'Angleterre et des pays scandinaves. Ces pays sont reconnus de par le monde par leur croissance continue, et leur épanouissement au niveau économique et social, mais aussi par la transparence de leurs systèmes gouvernementaux, leur respect irréprochable aux droits de l'Homme et par l'importance qu'ils donnent au bien être de chaque individu, créant ainsi un climat propice pour l'épanouissement personnel de chacun. [...]
[...] En effet, le Maroc n'a commencé à revoir son système de gouvernance qu'à partir de 1996, les statistiques démontrent également un taux de pauvreté empirant durant les années 90s. La gouvernance au Maroc souffre essentiellement d'un manque de transparence, d'une carence au niveau de la conscience communautaire, de lacunes apparentes sur le plan éducatif et scolaire, de fléaux sociaux ancrés dans les comportements, l'ensemble de ces problèmes issus essentiellement d'une gouvernance qui bat de l'aile se répercute indéniablement sur le niveau de développement du pays. [...]
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