To what extent is the clausewitzian account of war a political instrument relevant in the twenty-first century ?

Résumé du document

Clausewitz's description of war as a means to an end or, to use his own formulation, "the continuation of politics by other means", must be interpreted against the contemporary intellectual background: the majority of enlightenment writers had regarded war as an aberration, an interruption of political intercourse, the point where human reason came to an end . This view can be said to have influenced the actual conduct of war in as much as most eighteenth-century commanders tried to make war in a cautious, "civilised" manner while minimising the damage to the environment . Thus, when Clausewitz insisted that war was simply one of the forms taken on by political intercourse, that it was a language of politics that should be formulated on the basis of carefully assessed cost-benefit analysis, he was making a new and important point.
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Extraits

[...] Françoise ajoute qu'après son mariage, elle a vu l'envers du décor La maternité et les enfants : Les enfants arrivent généralement juste après le mariage. Trois des cinq femmes de la première génération ont eu deux ou trois enfants. Ce sont celles qui ont toujours travaillé comme Danielle qui tenait son commerce, ou qui ont repris un travail après avoir élevé leurs enfants jusqu'à ce qu'ils soient capables de se prendre en charge. Ensuite, les deux autres femmes ont eu chacune sept et huit enfants. [...]

[...] -1920 : Les femmes peuvent adhérer à un syndicat sans l'autorisation de leur mari. Loi interdisant la contraception et l'avortement. -1924 : Identité des programmes d'études secondaires pour les filles et les garçons. -1925 : Création de l'Ecole polytechnique féminine. -1930 : Assurance maternité de douze semaines pour la femme salariée et prise en charge médicale de la conjointe. -1936 : Trois femmes sont nommées sous-secrétaires d'Etat. -1938 : Suppression de la puissance maritale et abrogation de l'incapacité civile de la femme : le mari conserve le droit d'imposer le lieu de résidence et d'interdire à sa femme de travailler. [...]

[...] Bibliographie : 14 Introduction : Depuis le début du XXème siècle, la vie des femmes a considérablement évolué. Elles ont obtenu le droit de vote en 1944, l'autorisation de l'avortement thérapeutique en 1955, le droit de travailler sans l'autorisation de l'époux en 1966, la pilule en 1967, etc. Peu à peu, la femme n'est plus considérée comme un objet de reproduction mais comme un être égal à l'homme et capable de prendre des décisions. Elles acquièrent également davantage d'autonomie. La vie des femmes à travers le siècle précédent est alors très différente d'une génération à l'autre. [...]

[...] L'enfance : Une enfance marquée par la Guerre : Toutes ces femmes sont nées entre 1920 et 1948. Donc excepté Françoise et Rose qui sont nées après 1945, elles ont eu une enfance ou une partie de leur vie marquée par la Seconde Guerre Mondiale. La nourriture est difficile à trouver à l'époque, il faut aller s'approvisionner par le système des tickets ou des marchés noirs. Comme Simone qui avoue que pendant cette période, elle ne mangeait pas beaucoup, même pas de viande, c'était des rations de trois cents grammes de pains et puis on mangeait beaucoup de rutabagas et de poids chiches La vie était rude et selon chacune d'elles, on n'avait pas ce qu'on voulait, il fallait obéir aux parents, aider à la maison et faire comme on pouvait De plus, elles ont connu les bombardements, les soldats, la région de Haute-Normandie ayant été imprégnée par la Guerre. [...]

[...] Même si cela vient du fait qu'elles sont leur mère et qu'en tant que tel, elles sont incontestablement fière d'eux. Ce qui est e plus frappant est sans doute la manière avec laquelle elles insistent sur leurs bonnes études et qu'ils aient réussi leur vie familiale (pour ceux qui sont mariés). Notamment chez Rose et Françoise, on perçoit que leurs enfants sont leur récompense par rapport à ce qu'elles ont vécu. La vision du futur : La vision du futur, c'est-à-dire celle de leurs petits-enfants montrent toujours beaucoup de fierté mais cette fois, on trouve une certaine appréhension. [...]