Le mot sionisme désigne à la fois une idéologie et un mouvement politique nés en europe dans le dernier quart du 19ème siècle. La reconstitution d'une nation juive, formant un corps politique visant la création d'un Etat souverain en terre d'Israel constitue l'objectif dondamental de cette doctrine et de ce mouvement.
Le terme vient du mot « Sion » qui, depuis la destruction du premier Temple, désigne Jérusalem et apparait de façon récurrente dans les testes de la tradition juive. D'une façon plus générale, Sion, évoque l'aspiration permanente du peuple juif, exilé loin de son berceau historique et dispercé parmi les nations, à revenir un jour sur sa terre, la terre d'Israël
[...] Il défendaient cette idée afin d'aller dans le sens de la grande bretagne pour qu'ensuite elle fasse pression pour la Palestine, ce qu'il se passe avec la déclaration de Balfour en 1917. Quelques années après la mort d'herzl, la contreverse qui avait opposé les tenants du sionisme pratique et du sionisme politique commenca à s'estomper. A partir de 1907 l'idéologie dominnate est synthétique. Ce sionisme synthétique fut essentiellemen représenté par Chaim Weizmann élu en 1920 a la présidence de l'organisation sioniste mondiale. [...]
[...] Ensuite le 6 novembre 1884 se tint le prmier congrès génréal des amant de sion, mais ils avaient du mal à trouver une personnalité importante pour dirigier le futur centre à Berlin la seconde conférence fut un succès puisqu'elle permet l'organisation d'un mouvement qui donna la première aliya (immigration) . Le mouvement est aussi influencé par la thèse de Pinsker, il estime que l'antissémitisme existe partout et en tout temps et il faut que les juifs quittent les pays où ils constituent une minorité pour être majoritaire. Il fut à la tete du comité directeur de Zion. Pour lui la palestine n'est pas forcément le meilleur endroit Néanmoins, il n'y a pas de but politique mais juste un but économique. [...]
[...] Ben Gourion déclara Pourquoi les Arabes feraient-ils la paix? Si j'étais, moi, un leader arabe, jamais je ne signerais avec Israël. C'est normal : nous avons pris leur pays. Certes, Dieu nous l'a promis, mais en quoi cela peut-il les intéresser ? Notre Dieu n'est pas le leur. Nous sommes originaires d'Israël, c'est vrai, mais il y a de cela deux mille ans : en quoi cela les concerne-t-il ? Il y a eu l'antisémitisme, les nazis, Hitler mais était-ce leur faute? [...]
[...] Mais certains pronaient le départ vers la terre ancestrale, la seule qui permettrait selon la renaissance nationale. L'un des plus convaincus est l'aovcat Lilienblum, pour lui le problème est que les juifs constituent une nation au sein d'autres nations et qui ne pourront jamais être assimilés, ni recevoir l'étalité complète des droits. Il faut rassembler la nation juive dans un seul payas et le territoire approprié est la Palestine et c'est pourquoi il faut immédiatement acheter des terres au turcq et obtenir qu'il favorise un quasi gouvernement juif en palestine. [...]
[...] Mais il entre en conflit avec les juifs religieux de palestine. ces hommes ouvrirent la voie mais il faut attendre la naissance du mouvement amour de Sion pour que l'idée de la renaissance nationale se concrétise que pour que les juifs entreprennent de quitter collectivement l'europe pour la terre d'israel. le mouvement Hibbat Zion : Avec la naissance de ce mouvement, dont l'objectif était la renaissance nationale et le retour des juifs en terre d'israel, commence le sionisme moderne. L'essor est pris à partir du début des années 1880, avec en tête la conquête romaine et la destruction du Temple, en 70 de l'ère chrétienne et ainsi la nostalgie de Sion et l'immigration juive se poursuivirent tout au long de l'exil. [...]
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