En 1925, la ville de Paris accueille l'exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes. L'exposition regroupe de nombreux artistes français et étrangers, dans un total de 150 pavillons éphémères, vitrine de la modernité de l'époque. Ces artistes se divisent en deux tendances : la tradition réinventée et l'avant garde. Parmi eux, la peintre polonaise Tamara de Lempicka, artiste Art déco et figure clé des années folles, dont les représentations androgynes de la femme rappellent l'œuvre de l'américaine Romaine Brooks. C'est sur l'œuvre de ces deux femmes aux mœurs libérés que nous allons nous baser pour tenter de définir l'image de la femme en 1925, entre tradition réinventée et avant-garde.
Nous nous intéresserons tout d'abord aux éléments traditionnels contenus dans leurs représentations de femmes, avant de voir comment elles se les approprient, puis de nous attarder sur les éléments novateurs de leurs œuvres.
[...] Elle ne s'inscrit pas dans le cadre d'un accord d'assistance d'Etat à Etat. Revendiquée par la France, au nom d'une exigence morale, elle est d'emblée définie comme une opération humanitaire, placée sous mandat de l'ONU, et soumise à certaines conditions. Elle est autorisée par la résolution 929 qui prévoit la possibilité de recourir à la force. En juin 2004, selon leurs avocats qui se sont exprimés lors d'une conférence de presse le 3 février 2005, trois femmes tutsies ont porté plainte contre X pour viol par des militaires français devant la justice française. [...]
[...] Le tournant se situe dans les années soixante-dix où, comme le souligne M. Stephen : sans excès de schématisation, on peut dire que la France, dans l'indifférence générale, a chaussé les pantoufles coloniales de la Belgique, héritant du Rwanda par lévirat. - Délimitation chronologique : depuis ce tournant des années 1970 I. La France et le Rwanda ont longtemps entretenu des relations avantageuses pour les deux pays A. Le Rwanda, un pays stratégique pour la France 1. Le Rwanda est situé aux frontières de l'Afrique francophone 2. [...]
[...] Il est aujourd'hui dans l'intérêt de la France de gérer ses relations avec ce pays dans le cadre des organisations internationales, afin de ne pas être stigmatisée comme la responsable des problèmes internes du Rwanda et de la région des Grands Lacs. Sources - rapport de la mission d'information parlementaire de 1998 sur les opérations militaires menées au Rwanda de 1990 à 1994 - articles du Figaro - Noires fureurs, blancs menteurs, Pierre Péan - La nuit rwandaise, l'implication française dans le dernier génocide du siècle, Jean-Paul Gouteux, 2002. [...]
[...] L'actuel dirigeant rwandais, Kagamé, est suspecté par le juge français Bruguière d'être l'assassin de l'ancien président 1. L'enquête du Juge Bruguière met en avant le rôle joué par Kagamé et ses proches dans l'assassinat de l'ancien président. Le juge français les suspecte d'être impliqués dans l'attentat de 1994 contre le président Habyarimana, point de départ du génocide rwandais 2. En réponse à ces accusations, le président Kagamé a décidé de rompre les relations diplomatiques du Rwanda avec la France. Le 24 novembre 2006 : le Rwanda donne 24 heures à Paris pour rappeler son ambassadeur. [...]
[...] La France, mise en cause dans la gestion du conflit rwandais 1. Du soutien à l'ancien président à l'opération Turquoise La France soutenait l'ancien président Habyarimana, qui a contribué à former les milices qui ont participé au génocide. Les autorités rwandaises accusent régulièrement la France d'avoir entraîné et armé les auteurs du génocide avant les massacres, par le biais de leur accord d'assistance technique et militaire. La France est accusée d'être intervenue tardivement avec l'opération turquoise alors qu'elle disposait d'informations justifiant une intervention immédiate. [...]
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