Synthèse, pensée, colonialiste, décolonialiste
Au cours des siècles derniers, les grandes puissances européennes ont voulu sans cesse augmenter leurs influences et leurs richesses à travers le monde. Au 16ième et 17ième siècles, ces puissances autant militaires, qu'économiques ont pour ce faire pris possession de parcelles du monde et décider qu'à partir de ce moment ces parties leurs appartenaient. De cette manière, les empires européens augmentaient leur pouvoir et puisaient à volonté les ressources naturelles des pays conquis. On appela ces pays des colonies et les puissances européennes, des empires coloniaux. Ce système de dépendance envers les métropoles dura plus d'une centaine d'années, jusqu'à ce qu'un nouveau mouvement politique face son apparition, la décolonisation. Il fit son chemin d'une manière telle que le système colonial n'existe plus aujourd'hui bien qu'il disparut seulement vers 1970.
[...] Holloway, lui est contre le patronat mais aussi contre l'État car il veut l'abolition de toutes les situations de domination et pas seulement concernant directement le travail. En fait la grande différence c'est qu'Holloway veut plus de changements et au contraire des communistes, il nie complètement les institutions présentes dans le monde aujourd'hui. CONCLUSION Pour conclure, John Holloway est un grand penseur de l'idéologie altermondialiste radicale. Il a élaboré une thèse très intéressante en douze points qui résume bien sa pensée générale. [...]
[...] Les Européens eux sont rationnels, autonomes, porteurs de progrès, efficaces et ils possèdent la justice universelle. La pensée identitaire anti-coloniale dit que la raison et le progrès sont des valeurs néfastes pour la société et le monde car elles ne mènent qu'à l'invention de la bombe atomique et de la chambre à gaz. Donc, le progrès est immensément destructeur et la raison dangereuse. Au contraire, les valeurs des colonisés comme le communautarisme mène à la solidarité, l'entraide et les familles restent unies. Ensuite, il y a le courant de pensée matérialiste qui prône la décolonisation. [...]
[...] CONCLUSION Pour conclure, les colonisateurs ont établi toute une justification de la colonisation à leur avantage qui se divise en trois grandes catégories. Tout d'abord il y a la mission humanitaire qui explique que la colonisation est nécessaire pour la civilisation des peuples inférieurs. Ensuite, ce sont les domaines politiques et économiques qui servent d'arguments de poids pour le colonialisme. Les partisans de la décolonisation, eux utilisent le courant de pensée identitaire, matérialiste et nationaliste pour rendre légitime l'idée de souveraineté des peuples. [...]
[...] pouvoir- domination est la rupture et la négation du faire. C'est la négation active et répétée du flux social du faire, du nous qui nous constituons à travers le faire social. Penser que la conquête du pouvoir-domination peut conduire à l'émancipation de ce qu'il nie est absurde.»[6] Le pouvoir- action, quant à lui est celui qui mène à la dignité par la reconnaissance mutuelle et la constitution d'un nous. Il faut diriger ce dernier pouvoir contre la domination et le penser comme un anti-pouvoir plutôt que comme un autre pouvoir de remplacement. [...]
[...] Le mouvement altermondialiste découle en fait de la pensée révolutionnaire d'extrême gauche existant avant lui. On peut diviser grossièrement les adeptes de l'alter mondialisme en deux camps, les réformistes, qui veulent l'amélioration du capitalisme en passant par la réforme de l'État et les radicaux qui prônent l'abolition du capitalisme et de l'État. Ce texte portera sur les idées d'un altermondialiste radical, John Holloway et des différences et similitudes qu'à sa pensée avec la pensée communiste. LA PENSÉE DE JOHN HOLLOWAY Premièrement, je ferai une synthèse de la pensée de John Holloway. [...]
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