Régime, politique, marocain, monarchie
La Maroc était pendant longtemps sous l'autorité du sultan, qui était le protecteur du pays. Plusieurs dynasties se sont succédés, la dernière est celle des ''Alaouites''. Pendant longtemps le pays était indépendant. Le 30 mars 1912, le sultan contraint accepté par le Traité de Fés, le contrat de protectorat français. Le contrat est signé par le Maroc, la France, l'Espagne. Le protectorat est différent de la colonie. Le protectorat est un territoire qui a une relative autonomie sur le plan intérieur, mais sur plan extérieur, elle dépend de sa métropole qui lui assure sa protection. Le régime marocain va tendre vers une colonie car l'administration va y être directe. Le Maroc est divisé en 3 zones, au nord et à l'extrême sud sous contrôle espagnole, et le reste revient à la France. Le traité de protectorat est un choc pour les marocains. Peu à peu la France va imposer une administration directe et le sultan va donner ses pouvoirs à la Résidante générale qui représente la France. Le RG prépare les lois (Dahirs) et le sultan a un rôle symbolique et doit signer les Dahirs. Le sultan conserve son rôle sur le plan religieux. Il y a eu une résistance importance, le Maroc a été pacifié seulement en 1934. Mohammed El Krim est un grand résistant marocain, il a proclamé la République confédéré du Rife dont il est le président. Le Maroc est une excellente affaire pour le France et l'Espagne, car à la veille de le 2GM, la France possède beaucoup de terres. Le pays s'est développé, le train, les routes pour assurer le développement économique. Très rapide il y a eu une forte opposition nationale, Lyautey sait que le protectorat est un état provisoire. Il est de plus en plus critiquer, à cause du développement de l'idée panara qui est l'unité du monde musulman pour l'indépendance des pays arabes. En 1944, un mouvement qui réclame l'indépendance se crée. Le sultan choisit en 1925 es très jeune et très timide, mais il prend parti des nationalistes et devient célèbre. En 1947, lors d'un discours à Tanger, il affirme sa volonté de voir le Maroc indépendant, il pratique la guerre des sceaux, et refuse de signer les Dahirs du RG. En août 1953, il est exilé et il est remplacé par un autre sultan non légitime. Le mouvement nationalistes s'engagent dans l'action armer. La France rappelle le sultan en 1955 et le Maroc obtient son indépendance par le France, le 3 mars 1956, par l'Espagne le 7 mars 1956, et Tanger qui avait le statut de ville internationale revient au Maroc le 29 octobre 1929.
[...] Mais la proposition royale à cause de Driss Basri, car ce dernier est un symbole, il est ministre de l'intérieur depuis 20 ans et à couvert toutes les zones d'ombres du régime. La Gauche ne veut pas de cet homme dans son gouvernement. Lors des élections législative de novembre 1997, il n'y a toujours de majorité. Les socialistes ont 57 sièges sur les 326 et sont appelés à former un gouvernement. Youssoufi devient le premier ministres et forme un nouveau gouvernement le 4 février 1998 qui est le premier gouvernement socialiste. [...]
[...] Mais le roi n'a aucune obligation. En 1972, le contexte politique est difficile pour le roi, sa vie est menacée 2 fois, lors de son anniversaire, en juillet 1971, il échappe à une tuerie qui a fait une centaine de morts; en août 1972, il revient d'un séjour en France, son avion est pris pour cible par 5 MX-5 marocain, cette action est organisée par son ministre de l'intérieur Oufkir, ce qui provoqua des répressions terribles. Sur le plan politique, le roi est affaiblit politiquement, il est obliger de faire des concessions à l'opposition dès l'élaboration de le constitution de 1972. [...]
[...] Cette chambre a un pouvoir délibératif mais aussi la possibilité de censurer le gouvernement. La motion d'avertissement, qui doit être signé par 1/3 des conseillers et pour qu'elle soit adopter, elle doit être voté à la majorité absolue. Le premier ministre dispose de 6 jours pour donner une explication aux conseillers. Ensuite, il y a débat sans vote, si les conseillers ne sont pas satisfaits, ils peuvent déposer une motion de censure qui doit être votée et adoptée par les 2/3 des conseillers. [...]
[...] Le CC marocain est similaire au CC français, le contrôle se fait par voie d'action a priori et il est facultatif. L'assemblée parlementaires et les députés sont des nouveaux outils de contrôle du gouvernement, car le législateur a le pouvoir de créer des commissions d'enquête crée à l'initiative du roi et du Parlement. Les questions orales ont été aussi révisé, le gouvernement a 20 jours pour répondre à ces questions. Le Parlement ne peut plus être dissous sous l'état d'exception. [...]
[...] Ils ont un pouvoir général d'intervention, c'est la chaîne de commandement, de surveillance de la population. Avec le nouveau roi, il y a plus de liberté mais le makhzen existe toujours. Le rôle du roi en matière de constituant : Lois du premier discours du trône, le roi fixe les grandes orientations politiques que le gouvernement doit reprendre. En 1956, Mohammed V fait allusion à la nécessité de créer une assemblée constituante. Le pays n'a pas de constitution écrite , il lui faut une constitution écrite. [...]
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