Les problèmes et les enjeux du pouvoir exécutif au XIXe siècle, politique, moderne, révolution, émergence, pouvoir, excécutif, peuple, souverain
Texte de Necker : Il écrit deux volumes en 1791 faisant l'éloge du pouvoir exécutif. Il ne faut pas se débarrasser sous prétexte d'une parlementarisation, du pouvoir exécutif. Le pouvoir exécutif est « une force motrice ».
Necker est favorable à un Parlement, mais sait que le principal problème sera de maintenir un exécutif et surtout de le définir. L'exécutif ne doit pas être seulement un esclave, une machine du Parlement.
Il reconnaît qu'un exécutif fort est un danger potentiel, mais qu'il ne faut pas le restreindre. Il faut faire confiance à la capacité du jeu institutionnel pour réguler l'exécutif.
[...] Il ne faut pas se débarrasser sous prétexte d'une parlementarisation, du pouvoir exécutif. Le pouvoir exécutif est une force motrice Necker est favorable à un Parlement, mais sait que le principal problème sera de maintenir un exécutif et surtout de le définir. L'exécutif ne doit pas être seulement un esclave, une machine du Parlement. Il reconnaît qu'un exécutif fort est un danger potentiel, mais qu'il ne faut pas le restreindre. Il faut faire confiance à la capacité du jeu institutionnel pour réguler l'exécutif. [...]
[...] Apogée de la presse ne termes de quantité de journaux mais aussi de lecteurs. La paysannerie lit également. Epoque également du développement de l'école obligatoire. Identification symbolique Pas de République sans une forme de liant, sorte de capacité à lier les affects des individus à travers des sortes de croyances : c'est la religion civile. Mais pour la deuxième génération de Républicains (Gambetta), il n'y a pas de religion civile car ils pensent que la Rep peut marcher sans religion. [...]
[...] Pour les radicaux, il ne doit pas y avoir deux chambres, (veulent supprimer le Sénat). La droite elle, à partir des années 1900, veut renforcer l'exécutif. C'est dans ces années que se forme les opinions politiques de De Gaulle. Les centristes se satisfont de cette expérience parlementaire. Mais il n'y a jamais eu de pensée centrale, exprimée publiquement, faisant un éloge de la Constitution de la IIIe. Pour la gauche, la loi, établie par le Parlement, est la base et l'exécutif ne devrait faire que l'appliquer. [...]
[...] Les problèmes et les enjeux du pouvoir exécutif au XIXe siècle Présentation Karl Marx : Elle [la France] est l'aînée, elle expérimente la politique moderne pour les autres nations. Angoisse et critique des monarchistes : rien ne peut être fondé en France, politique toujours en mouvement. (cf correspondance Louis-Philippe et Guizot) Sorte de loi, entre 15 et 18 années de vie pour les régimes politiques en France au XIXe siècle. La République fait figure de régime instable an puis 3 ans). [...]
[...] Faire jouer l'exécutif est donc un moyen de juguler le développement du pouvoir du peuple. Laisser ces brigands agir est un moyen d'empêcher l'exécutif d'exercer son pouvoir. Pour Robespierre, l'exécutif devrait même disparaître. L'exécutif est un pouvoir qui développe le désordre. Il développe toute une rhétorique pour dire que s'il y a la merde à Dieppe, c'est parce que les gens se défendent d'avance contre les excès éventuels du pouvoir exécutif. (sorte de paranoïa) Le moyen de continuer la Révolution est de supprimer l'exécutif. Les Républicains penseront tout d'abord la même chose. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture