Naturellement, la notion de politique étrangère n'a pas le même sens pour tous les États, étant donné les nombreuses différences de ces derniers. La politique étrangère des différents États est effectivement influencée par plusieurs facteurs. Dans Sociologie des relations internationales, Marcel Merle en nomme sept (...)
[...] Un argument idéologique incite aussi à prôner cette forme de pénétration des capitaux étrangers : la propriété acquise grâce à ces capitaux n'est pas étrangère. Par contre, le FMI et la Banque mondiale finissent souvent par intervenir de façon plus pesante qu'aurait été la dépendance envers les firmes multinationales dans un cas d'investissement direct. Malheureusement, l'investissement n'est pas toujours le résultat de ces financements. On constate plutôt des résultats tels que l'élévation du taux de change réel, qui entraîne une stimulation de la consommation, ce qui réduit plutôt le taux d'épargne global de l'économie. [...]
[...] Discutez des facteurs qui influencent la politique étrangère d'un pays. Soyez précis. Naturellement, la notion de politique étrangère n'a pas le même sens pour tous les États, étant donné les nombreuses différences de ces derniers. La politique étrangère des différents États est effectivement influencée par plusieurs facteurs. Dans Sociologie des relations internationales, Marcel Merle en nomme sept. Premièrement, l'Exécutif est sans doute un des facteurs qui ont la plus grande influence sur la politique étrangère. Il est évident que le ministre des affaires étrangères y joue un très gros rôle, mais plusieurs autres aussi. [...]
[...] Jacques Adda distingue et traite de trois formes de pénétration de ces capitaux. Premièrement, la contribution à l'industrialisation qu'il juge la plus directe est l'investissement direct. L'investissement direct consiste en l'implantation d'entreprises dans les pays en développement, ce qui, dans une situation idéale, peut générer des devises, de nouvelles productions, de nouveaux emplois et de transferts de technologies. Plusieurs ont pu constater que cette forme de pénétration des capitaux étrangers a contribué au développement de la dépendance des pays récepteurs de ces capitaux étrangers à l'égard des pays investisseurs. [...]
[...] Il s'agit de dons ou de prêts à taux symboliques financés en grande partie par les budgets nationaux des pays industrialisés. Cette forme de pénétration des capitaux étrangers représente quelque soixante milliards de dollars. Adda considère qu'il s'agit d'abord et avant tout d'un instrument de politique étrangère pour les États donateurs, puisqu'ils parviennent, grâce à ces dons et prêts, à exercer une influence politique et culturelle. Il s'agit en fait d'un outil de pénétration commerciale important, d'un moyen pour les pays créanciers de réduire le coût de leurs exportations de biens d'équipement vers les pays en développement. [...]
[...] Dans le même ordre d'idées, les administrations et les entreprises publiques vont aussi influencer la politique étrangère dans le même dessein que les organismes et les groupes. La politique étrangère va aussi tenir compte des intérêts parfois divergents des régions. Par exemple, il est évident que dans l'élaboration de celle-ci, le Canada doit tenir compte de la tendance séparatiste du Québec, entre autres. Finalement, en amplifiant les débats et en révélant les tensions existantes, la presse intervient dans la politique étrangère Jacques Adda distingue plusieurs formes de pénétration des capitaux étrangers dans les pays en développement. [...]
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