Cet exposé s'interroge sur la mondialisation e ses conséquences. Il repose sur les problématiques suivantes:
Qu'est-ce qui définit la mondialisation ?
Quels en sont les acteurs, les enjeux ?
Intègre-t-elle tous les pays de la même manière ?
Est-elle acceptée partout ?
Existe-t-il d'autres modèles d'organisation du monde ?
C'est donc autour de ces questions que s'organise la reflexion menée, en explorant les aspects aussi bien économiques que sociaux de ce phénomène.
[...] Le donneur d'ordre limite la durée de l'immobilisation de son capital. Des particuliers (les portables dont on ne peut plus se passer ) Ce libre accès de plus en plus commun aux nouvelles technologies, permet l'uniformisation des informations et de la culture, car aucun point, désormais, de la planète n'est à l'écart de ces flux. Désormais, la puissance d'un état se mesure aussi à sa capacité à produire des informations pour le reste du Monde, les États-Unis ayant dans ce domaine une influence incomparable. [...]
[...] Elle résulte du jeu de différents acteurs, constitués en système : les États s'ajoutant à l'OMC, les firmes transnationales dominent le commerce international et contribuent à affirmer la domination des pays riches, les ONG, ainsi que des réseaux criminels. L'archipel mégalopolitain qui rassemble les villes mondiales et les espaces liés au haut niveau de vie, concentre l'essentiel de la production et des échanges. Pour l'essentiel, le reste du Monde est constitué d'espaces dépendants de l'archipel mégalopolitain. La mondialisation est donc un ensemble de relations qui mettent en contact les différents ensembles géographiques qui constituent le Monde. [...]
[...] - les flux de capitaux : La globalisation financière mise en œuvre à partir des années 80 et généralisée après la chute du communisme, a créé un marché unifié des capitaux. Ainsi, l'évolution des IDE est en constante augmentation, par rapport aux exportations mondiales, ou encore à la production mondiale. Quant à sa place dans l'économie nationale, en tant que PIB mondial, il est beaucoup plus élevé que le commerce mondial, mais reste quand même inférieur aux transactions sur le marché des changes. [...]
[...] Les principales régions concernées sont l'Italie, l'ex Union soviétique, le Japon, les Triades Chinoises ou encore les cartels colombiens, mais également les paradis fiscaux, présents partout dans le monde. Ces trafics sont donc une concurrence à la mondialisation et à la production légale. Conclusion Ainsi, la mondialisation se définirait d'abord par des flux, autant de capitaux que de marchandises, de touristes que d'humains, mais aussi de réseaux criminels. La mondialisation est une mise en relation des différentes parties du Monde, elle affecte plus ou moins tous les lieux de la planète. [...]
[...] L'intensification de ces flux est un fait fondamental, qui n'a cessé de prendre de l'importance depuis deux siècles. Entre 1800 et 1913, la valeur du commerce mondial de biens par tête est multipliée par 25 tandis que la production ne l'était que par 2,2. Cette évolution des flux s'explique par la montée en puissance des firmes transnationales et l'abaissement sensible des droits de douane entre les États (organisé par l'OMC). * Les métropoles portuaires et aéroportuaires grandissent et se transforment grâce à de nouvelles techniques de transports comme la conteneurisation (=Transport de marchandises par conteneur, grand coffre métallique de taille standardisée), les plates - formes multimodales (=qu'il s'agisse de villes portuaires ou de grands aéroports, ils sont plus modernisés, avec l'essor spectaculaire des télécommunications et les autoroutes régionales de l'information, et moins coûteux), ainsi que les hubs, ou autrement dit les ports d'éclatement (=port ou aéroport intermédiaire entre un ensemble de destinations, nœud de correspondances et de redistribution). [...]
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