La mondialisation, réalité importante de notre époque, est victime de plusieurs critiques négatives depuis quelques décennies. Le fonds monétaire international (FMI) définit la mondialisation comme "un processus historique qui est le fruit de l'innovation humaine et du progrès technique [et qui] évoque l'intégration croissante des économies dans le monde entier, au moyen surtout des courants d'échanges et des flux financiers".
On ne peut pas nier qu'elle apporte bien des changements dans les conditions générales des États autant que des individus qui les habitent. La mondialisation est responsable de maints enjeux et défis, notamment en ce qui a trait à la mise en place de normes régulatrices dans les nombreuses sphères du système international.
La mondialisation contribue donc de façon indubitable au développement de l'économie mondiale et il s'agit, selon plusieurs observateurs et selon le développement des situations observables, d'un phénomène inévitable et irréversible (...)
[...] On ne peut pas nier qu'elle apporte bien des changements dans les conditions générales des États autant que des individus qui les habitent. La mondialisation est responsable de maints enjeux et défis, notamment en ce qui a trait à la mise en place de normes régulatrices dans les nombreuses sphères du système international. La mondialisation contribue donc de façon indubitable au développement de l'économie mondiale et il s'agit, selon plusieurs observateurs et selon le développement des situations observables, d'un phénomène inévitable et irréversible. [...]
[...] La mondialisation a également apporté un mélange des cultures et une ingérence de certaines cultures au sein d'autres, ce qui provoque plusieurs conflits de valeurs et qui provoque certains groupes terroristes. Les moyens et les fins se retrouvent donc beaucoup plus nombreux pour les terroristes. Des crises périodiques La mondialisation apporte une croissance (à distinguer du développement) sans précédent à plusieurs États, mais cela n'est pas sans risque inhérent à la fluidité des capitaux mondiaux dans les marchés financiers internationaux. [...]
[...] Malheureusement, la prise de contrôle par le centre ne peut que s'accroître, s'il n'en tient qu'au capitalisme qui caractérise le système mondial actuel. Plusieurs pays où se sont implantées des unités de production (principalement en Asie et en Amérique latine) en font maintenant une bonne partie de leur économie, ce qui les rend complètement dépendants des pays développés. Indirectement, ces entreprises exercent un grand pouvoir au sein de l'État, et ne partagent pas nécessairement les mêmes valeurs et objectifs que la nation, ce qui crée des différents moraux et démocratiques (lorsqu'il est question de démocratie). [...]
[...] Plusieurs aspects sont donc touchés par la mondialisation. Les principaux sont sans doute les mouvements de capitaux, en raison des faibles barrières tarifaires découlant directement de la mondialisation, les migrations, en raison de la connaissance des conditions des différents États, notamment les salaires, les droits du travail, etc., le commerce international, évidemment beaucoup plus facile dans une communauté internationale aussi intégrée de façon régionale et même mondiale, et, finalement, tel que traité plus haut, la diffusion des connaissances et de la technologie. [...]
[...] XXXIV, no N. Boukharine, La notion d'économie mondiale dans T. Hentsch et al., Le système mondial, Montréal/Paris, Nouvelle Optique/Éditions Silex M. Castells, L'économie globale : genèse, structure et dynamique dans M. Castells, La société en réseaux, Paris, Fayard C.-A. Michalet, États-nations, firmes multinationales et capitalisme mondial Sociologie et sociétés, vol. XI, no F. Stenghass, Formes et types de conflit dans la société internationale contemporaine dans T. [...]
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