Aristote dit que « L'homme est un animal politique naturellement fait pour vivre en société ». Il y a un point de vue radicalement opposé : Hobbes, Locke et Rousseau. Pour eux, naturellement l'homme vie seul. La vie solitaire à des avantages.
Mais il semble bien que la condition humaine soit faite pour que les hommes vivent avec d'autres hommes.
[...] L'ambition des sciences sociales est de dégager des lois analogues au lois de la nature. Le positivisme est donc une grande ambition, et l'on a cru dans les années 70 que l'on pourrait résoudre les problèmes sociaux. Aujourd'hui la place des sciences sociales dans la société est diminuée même si importante. Section 2 : La construction positiviste du monde Critique du Positivisme La méthode, quand elle est appliquée, donne à voir un monde nouveau. Le monde vu par le savoir ordinaire n'est pas le vrai monde selon les positivistes. [...]
[...] On dit que c'est une forme politique non-identifié. L'une des questions majeures de l'avenir c'est, quel Europe doit-on faire ? Avec quelle population ? Quelle forme politique? On va organiser un pouvoir politique, mais de quelle manière ? Le pouvoir politique est un pouvoir à part, un pouvoir qui s'étend sur l'ensemble de la société. Il a un attribut qui lui est propre, il a le monopole légal de la force. Ainsi, on est plus mettre de se faire justice soi-même. [...]
[...] On appelle cela une philosophie idéaliste, qui ne part non pas des choses connues, mais de l'esprit connaissant. Pour savoir ce que nous pouvons connaître des moyens de connaître les choses, on va utiliser la méthode de la régression à l'infini. Les idéalistes ne posent pas l'existence sûre du monde extérieur. Ceci est aux antipodes du sens commun. La science positiviste demande de se dépouiller de ce que nous croyons savoir des choses ordinaires, puisque c'est incertain. Il faut partir de la raison scientifique, de la méthode, pour connaître les choses. [...]
[...] Il faut se rendre compte que nous vivons dans une paix politique aujourd'hui. Les hommes politiques sont tous d'accord sur le régime du pouvoir politique. L'histoire politique des hommes a changé. Chapitre 1 : L'analyse de la connaissance en science politique Dans la politique on trouve2 courants: Un courant classique qui trouve son origine chez Aristote et qui accorde beaucoup à la philosophie politique. Strauss, professeur Allemand,et Hannah Arendt professeur aussi, traitent de la politique à la manière d'Aristote. Aristote se pose la question des différences entre les régimes. [...]
[...] Le sociologisme tend à faire d'une réalité variable et compliquée, une réalité simple et unique. Et l'Interprétation des économistes : qui tient les hommes pour semblables parce qu'ils agissent toujours pour une même raison. L'homme recherche rationnellement la satisfaction de son intérêt en terme de revenu, de pouvoir, de vanité. Il y a une part de vérité indéniable, il y a même une part de rationalité. Mais il y a aussi des comportements non rationnels (passionnels) et non utilitaires (agissant contre notre intérêt). [...]
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