fascisme, nazisme, régimes comparables, idéologie commune, Mussolini, Hitler, Etat total
Le XXe siècle a vu émerger un certain nombre de régimes politiques qui ne figurait pas dans l'ancienne typologie remontant à l'antiquité et décrire par Platon dans La République, Platon avait mis comme régime : Monarchie, Dictature, Démocratie, et Aristocratie. Le fascisme fait figure de nouveauté politique, né en Italie en 1919 avec la fondation du parti fasciste il connaît un grand succès dans le reste de l'Europe (Espagne, Hongrie, Suède, Portugal, etc.. ), mais également en Allemagne où Mussolini a fait figure d'exemple pour Hitler : culte du chef, rôle du parti, idéologie belliqueuse opposée à la démocratie aussi bien qu'au communisme. Beaucoup de choses unissent les deux régimes. Néanmoins le nazisme s'affirme comme un fascisme singulier à commencer par le fait qu'il est à l'instar de l'URSS un totalitarisme là où le fascisme italien apparaissait aux yeux d'Hanna Arendt comme un totalitarisme inabouti.
[...] Néanmoins il y a loin entre la dictature mussolinienne et le totalitarisme nazi La singularité allemande interdit de faire du nationalisme socialiste une simple variante du fascisme. Le nazisme a le génocide, l'antisémitisme est dans le contenu du nazisme évoqué dans Mein Kampf c'est l'extermination on ne peut pas arriver à l'idée d'une équivalence parce qu'il y a cette différence fondamentale entre les deux. Pour conclure il y a des points communs idéologiques et politiques entre les deux. Mais le nazisme se singularise fortement conférence de Wannsee (extermination de 11 mille juifs). [...]
[...] On parle des squadristi fasciste se baladant avec des gourdins etc . Marche sur Rome : En Octobre 1922 Mussolini menace le gouvernement de Rome d'envoyer les chemises noires de Naples jusqu'à Rome. C'est un coup de bluff de Mussolini et dès 1922 Victor Emmanuel III soucieux d'éviter un bain de sang et craignant de perdre sa couronne fait appel à Mussolini le 29 Octobre pour former un gouvernement. Le contexte de la prise du pouvoir par Hitler. Il tente 3 putsch, etc . [...]
[...] mais également en Allemagne où Mussolini a fait figure d'exemple pour Hitler : culte du chef, rôle du parti, idéologie belliqueuse opposée à la démocratie aussi bien qu'au communisme. Beaucoup de choses unissent les deux régimes. Néanmoins le nazisme s'affirme comme un fascisme singulier à commencer par le fait qu'il est à l'instar de l'URSS un totalitarisme là où le fascisme italien apparaissait aux yeux d'Hanna Arendt comme un totalitarisme inabouti. Dès lors dans quelle mesure est-on légitimé à rapprocher fascisme italien et nazisme ? Une idéologie commune, mais dont les déclinaisons sont nationales. [...]
[...] Le racisme forcené, antisémitisme radicale. C'est la mise en place d'un darwinisme social. Le culte du chef. Le rôle de l'Etat et du parti sont différents. Mussolini se méfiait du parti puisque dans le parti il y avait encore des hommes qui lui étaient hostiles alors que Hitler dit le führer est le parti et le parti est le führer congrès nazi de 1935, pour le nazisme, le parti est l'organe central de commandement, le parti se décline en divers associations : les jeunesses hitlériennes, les SS. [...]
[...] Et pour finir la fin de ces régimes est à comparer. III- Leur pratique du pouvoir et leur volonté de former un home nouveau rapproche nazisme et fascisme même si le nazisme est le seule des deux à constituer un totalitarisme achevé. Un Etat total, une idée certes partagé par le fascisme italien et le nazisme. Mussolini présente l'idée de créer un Etat total, or c'est les historien qui on pris cette notion par exemple le premier d'entre eux est allemand appelé Otto Ruhle Fascisme brun, fascisme rouge il mentionne l'idée qu'il faut rapprocher le communisme du nazisme, c'est un communiste qui est anti Staline. [...]
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