Après la Première Guerre mondiale, le roi Albert Ier, promet une égalité linguistique. En 1919, les flamands se divisent : il y a les militants qui réussissent à obtenir la réalisation d'un programme minimal en 1919 dans lequel ils revendiquent la flamandisation de l'administration, de la justice et de l'enseignement, la division de l'armée en unités flamandes ou wallonnes et l'utilisation du néerlandais pour traiter les affaires concernant la Flandre dans l'administration. Ils veulent faire du flamand la seule langue autorisée dans la vie publique pour toute la région flamande (...)
[...] Les flamands accusent les wallons et les wallons accusent les flamands. D'après les flamands, les wallons sont des flemmards qui ne savent même pas apprendre le néerlandais tandis que les francophones critiquent les flamands qui seraient trop nationalistes, voulant l'indépendance totale de la Flandre avec Bruxelles comme capitale. Une chose qui a rendu mon travail plus facile a été l'accès aux informations. J'ai pu m'appuyer sur de nombreux documents, contrairement aux documents sur la politique et sur l'économie qui étaient plus dur à trouver ; Internet (wikipedia et d'autres sites trouvés sur Google ainsi que des forums afin d'étudier les avis plus personnels des wallons et des flamands sur cette crise linguistique), des articles de journaux belges comme Le soir, et un livre de Marie Thérèse Bitsch ; L'histoire de la Belgique. [...]
[...] Léopold III, qui fut le quatrième roi des Belges et qui fut libéré par les Alliés, refuse d'abandonner comme le souhaitent les ministres qui étaient sous la pression des wallons.[17] A Les conflits autour du fédéralisme Le gouvernement demeure compétent pour la politique étrangère et la politique européenne, la défense, la justice et la police. Alors le gouvernement dispose d'un grand pouvoir entre ses mains. L'Etat fédéral ne dépasse pas chaque Région ou Communauté, c'est ce qui rend le fédéralisme belge unique au monde. Le pouvoir législatif est entre les mains du premier ministre (Guy Verhofstadt) et des ministres, donc entre les mains du Parlement fédéral. Il contient la chambre des représentants, composée de 150 députés repartis en deux groupes linguistiques : Linguistique francophone (62 sièges) et linguistique néerlandophone (88 sièges). [...]
[...] Déjà la Wallonie et la Flandre ont leur propre parlement. Si les Wallons sont très royalistes et attachés à l'unité du pays, les Flamands sont quant à eux de plus en plus favorables à une république flamande. Dans ce cas précis, le roi ne joue pas le rôle d'arbitre et semble au contraire immobiliser les oppositions entre ces deux peuples. On voit bien que la monarchie en elle même ne résout pas les problèmes des sociétés mais comme en République, il faut une véritable volonté politique que la dynastie belge ne semble plus avoir. [...]
[...] La première étape de cette réforme est accomplie en 1970 cela se résulte par la division en trois communautés néerlandophone, germanophone et francophone. Vingt-trois ans plus tard, la Belgique devient officiellement un État fédéral.[21] Aspects historiques : Le projet de constitution est soumis au Congrès national en 1830. Le 7 février 1831, le congrès national clos les débats et vote la constitution belge. La constitution belge ressemble aux constitutions françaises de et 1830, à la loi fondamentale du royaume des Pays-Bas de 1815 et au droit constitutionnel anglais. La Belgique devient donc une monarchie parlementaire. [...]
[...] Elle est et doit être constante. Mais il est des moments où le rôle du Roi, tout en demeurant couvert par la responsabilité ministérielle, s'affirme plus nettement. Il s'agit des périodes de formation du gouvernement. D'autre part, les Présidents des Gouvernements régionaux et communautaires prêtent serment dans les mains du Roi. Celui-ci reçoit également en audience les membres des Gouvernements et Parlements régionaux et communautaires. À propos de la monarchie et de l'unité nationale : Un intervenant s'appuie sur le cas de la Belgique pour contester l'idée que le roi puisse être un arbitre et le symbole de l'unité nationale : Dans le même temps, plus près de chez nous, nous sommes en train d'assister à un déchirement de la Belgique entre les Flamands (dans la partie nord la plus riche et la plus dynamique de Belgique) et au sud les Wallons francophones. [...]
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