Le noyau dur de la politique étrangère canadienne est formé d'un certain nombre d'acteurs vraiment influents dans la politique étrangère. Il y a toujours une monopolisation de la prise de décisions en politique étrangère au niveau exécutif. Dans nos sociétés contemporaines, ça signifie que la politique étrangère est le monopole du gouvernement (d'où le noyau dur) (...)
[...] Le concept de société civile est difficile à définir. Le Hamas pourrait techniquement faire partie de la société civile, tout comme une organisation de dirigeants des plus grosses entreprises, etc. Selon la théorie de Bourdieu, un sujet qui n'intéresse pas nécessairement le public pourrait paraître l'intéresser en lui posant des questions reliées à un sondage. Il ne répondra pas aux questions parce que c'était un sujet qui lui tenait à cœur, mais simplement parce qu'on lui pose des questions reliées à ce sujet. [...]
[...] - Rôle de conseiller et d'expert o La société civile est pourvoyeuse d'expertise auprès du gouvernement. - Rôle d'acteur autonome o Il n'y a pas de relation entre l'État et la société civile en tant que tel. Cela est particulièrement vrai pour les très grandes entreprises. - Rôle de légitimation o Utilisation que le gouvernement va faire de la société civile pour justifier ses choix et ses décisions. Les provinces et la politique étrangère canadienne La Constitution et la politique étrangère Il n'y a pas de compétence exclusive. [...]
[...] Les bureaucraties Le rôle de la bureaucratie est-il aussi important en politique étrangère que dans les autres sphères politiques? Les logiques bureaucratiques, ou le clash des cultures organisationnelles Il y a des différences importantes entre les bureaucraties de la défense et de la politique étrangère. À l'intérieur du Ministère de la défense, il y a une distinction marquée entre les civils et les militaires. La défense un impact sur l'identité fonctionnelle canadienne et les civils alors que les affaires étrangères ont une identité fonctionnelle du diplomate moyen beaucoup plus forte vers l'international que vers les États-Unis. [...]
[...] La politique étrangère canadienne dépend donc de l'intérêt que le Premier ministre y porte et du style de leadership qu'il va exercer. Le Premier ministre peut donc avoir une influence importante mais cela dépend de sa personnalité. C'est effectivement le Premier ministre qui détermine les grandes priorités du gouvernement en politique étrangère. - Il nomme les ministre (et les défait ce qui influence les actions de ceux-ci). - Il conduit la diplomatie de sommet c'est-à-dire que c'est lui qui représente le pays lors des grandes rencontres internationales de dirigeants. [...]
[...] - Affaires étrangères - Commerce international - Coopération internationale - Défense - Finances - Environnement - Immigration - Pêche et océans - Sécurité publique - Patrimoine canadien, condition féminine et langues officielles Le ministère de la défense : acteur ou outil? Est-ce que le ministère de la défense est un acteur ou un outil de la politique étrangère canadienne? La défense n'a jamais été considérée comme un acteur à part entière de la politique étrangère canadienne. Traditionnellement, il s'agit de la cinquième roue du carrosse. [...]
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