Ukraine, guerre, Russie, tensions, indépendantiste, force militaire, Géorgie, territoires adjacents, influence politique, chute, Empire soviétique, région de Donbass, principe de souveraineté, Traités de Westphalie, Charte de San Francisco, Conseil de sécurité, paix internationale, droits humains, droit de veto, ONU Organisation des Nations unies
La guerre en Ukraine a été déclenchée par la Russie le 24 février 2022. Cette crise est intervenue à la suite des tensions politiques entre les deux pays. Antérieurement, l'annexion de la Crimée a eu lieu en 2014 suite à la révolution qui a pris place quant aux tensions existantes entre les Ukrainiens pros russes et les Ukrainiens indépendantistes. Depuis cet événement, la situation ne s'est pas améliorée.
[...] En effet, la Russie rêve de sa grandeur d'antan avec une Union rassemblant plusieurs nations. Aujourd'hui, le sentiment d'appartenance de plusieurs populations externes à la Russie se fait ressentir. L'influence géopolitique de ce pays est exercée de manière à ce que les populations indépendantes d'autres États ayant gagné leurs indépendances après la chute de l'empire soviétique approuvent une volonté de rejoindre l'État de la Fédération russe. Quant à la région de Donbass, les preuves de la démographie démontrent qu'une majorité de populations russe y réside. [...]
[...] Analyse critique de l'invasion de l'Ukraine La guerre en Ukraine a été déclenchée par la Russie le 24 février 2022. Cette crise est intervenue à la suite des tensions politiques entre les deux pays. Antérieurement, l'annexion de la Crimée a eu lieu en 2014 suite à la révolution qui a pris place quant aux tensions existantes entre les Ukrainiens pros russes et les Ukrainiens indépendantistes. Depuis cet événement, la situation ne s'est pas améliorée. Malgré l'élection d'un nouveau chef de gouvernement en Ukraine, les relations géopolitiques ont atteint un point critique. [...]
[...] À mon sens, le but ultime de l'invasion est de prendre le contrôle d'une part essentielle des flux considérant de la richesse mondiale. Chaque acteur disposant d'un droit de véto à l'ONU veut assurer son statu quo relativement au contrôle de la mondialisation. Le conflit né de l'opposition de modèle américain capitaliste au modèle russe persiste au point que la guerre économique ne se préoccupe pas de la vie des individus, mais de la survie et de la persévérance des valeurs communautaires. [...]
[...] En revanche, cette institution a failli à sa mission, car le droit de véto accordé aux puissances hégémoniques met en péril l'efficacité de la vocation de cette institution. Relativement au conflit russo-ukrainien, l'hégémon affirme que son but est d'éradiquer les individus et groupements affiliés à l'extrême droite, nazi. C'est donc au nom des droits humains que la Russie a entrepris la guerre en place. Cette instrumentalisation de la population ne fait que confirmer la position selon laquelle la thèse et l'antithèse sont alimentées par l'hégémon. [...]
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