Contrairement à ce que nous pouvons penser, le phénomène de la criminalité est à la baisse depuis les années 1990 (Institut de la statistique Québec, 61e édition). Pour donner une brève définition de la criminalité, c'est un phénomène social et universel. La société a un impact sur le niveau de criminalité (Doron, 1998). En effet, en l'espace de quatre ans, soit de 1995 à 1999, le nombre de criminels est passé de 135 601 à 110 189, soit une baisse de 18,7 % (Institut de la statistique Québec, 61e édition) (...)
[...] La société a un impact sur le niveau de criminalité (Doron, 1998). En effet, en l'espace de quatre ans, soit de 1995 à 1999, le nombre de criminels a passé de à soit une baisse de (Institut de la statistique Québec, 61e édition). Pour ce qui touche de plus près les jeunes de notre société, le nombre de jeunes contrevenants, les gens entre douze et dix-huit ans, est passé de en 1995 à en 1999 (Institut de la statistique Québec, 61e édition). [...]
[...] La ville de Montréal est le lieu où il y a le plus de délits graves (Gervais, 2001). Par délit, nous voulons dire une infraction, située entre les crimes et les contraventions et passible d'une peine correctionnelle. Ce terme est utilisé pour qualifier toute conduite fautive et dommageable (Doron, 1998). Par contre, entre 1995 et 1999, le nombre de délits et d'infractions au Québec a régressé de (Institut de la statistique Québec, 61e édition). Il y a trois grandes catégories de délinquances, soit la délinquance commune, la délinquance transitoire et la délinquance persistante (Leblanc, 2000). [...]
[...] Un autre facteur est le facteur social, soit l'absence de vie étudiante, faiblesse de l'éducation morale et civique, absence de diplôme secondaire, etc (Gervais, 2001). Le quatrième facteur est le facteur communautaire, comme par exemple la désorganisation sociale, faiblesse des équipements sociaux, etc (Gervais, 2001). Finalement, le facteur social, ce que la société montre à l'individu en question, soit la pauvre, hétérogénéité ethnique, insuffisance des services de santé et des services sociaux, etc (Gervais, 2001). Donc, plusieurs choses peuvent faire en sorte qu'un individu devienne un délinquant. [...]
[...] Bien sûr, il y a des adolescents qui n'ont jamais fait de crime de leur vie. Une étude de 139 Liégeois entre 1992 et 1996 tente de montrer les différents niveaux de délinquance, avec les statistiques de ces niveaux. Seulement des gars avouent ne pas avoir fait de crime de leur vie, contre des filles (Glowacz, 2001). Pour la délinquance commune des garçons et des filles ont affirmé avoir fait un acte de délinquance, mais que c'était le seul qu'ils ont effectué (Glowacz, 2001). [...]
[...] Pour faire une comparaison avec les autres provinces canadiennes, le Québec présente, en 1999, un taux de criminalité inférieur à la moyenne canadienne (Ibid). En ce qui a trait aux infractions au Code criminel, il vient au huitième rang des provinces avec un taux de 59,3 pour 1000. Quant aux crimes avec violence, le Québec occupe le dixième rang; il se situe par contre au sixième rang en ce qui a trait aux crimes contre les biens ou contre la propriété (Ibid). [...]
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