On constate que les premiers syndicats reconnus en Europe ont été admis en 1824, 1825 en Angleterre (syndicats de métier : référence au niveau national en 1851) et au "Trade union congress" en 1868.
En France : la première cause syndicale de solidarité est faute en 1879. C'est dans les années 1880 que se développe l'AFL (aux USA). Et c'est en 1895, qu'est créée la CGT. (...)
[...] Les syndicats mettent au point des investissements et des stratégies pour éviter que le syndicalisme soit marginal, et pour fidéliser leurs adhérents. Comment font-ils ? : Les syndicats s'engagent à partir de petits groupes locaux animés par un responsable (permet un plus grand contrôle social des adhérents). On attribue au seul membre du syndicat des avantages, une assistance judiciaire Plus rarement : L'adhésion aux syndicats à été obligatoire. Il a montré que : l'existence objective d'un groupe d'individus aux intérêts communs n'entraîne pas automatiquement l'apparition d'actions collectives. [...]
[...] La présence syndicale à un effet marginal défavorable sur l'emploi. En Angleterre et aux USA : Des économistes libéraux voient dans le syndicalisme une entrave dans le fonctionnement de marché (distorsion de la concurrence). Critiques : Les conventions collectives sont très détaillés ; les définitions de postes, grilles de qualifications sont détaillés. Et pour eux : Cela n'incite pas les employeurs à embaucher. o Le rôle social des syndicats (dans les entreprises ou les administrations) : Crées pour apportés une aide aux salariés (aide individuelle), pour les salariés étant en mauvaises conditions de travail La fonction de délégué d'atelier est apparue entre 1914 et 1918 : Dans les entreprises où il y a des syndicats, on constate toujours, un plus faible nombre de sanctions contre les salariés. [...]
[...] Il souhaite que : Le mouvement sociale organise la société sur des bases morales, justes (il n'est pas marxiste, il ne s'agit pas de faire la révolution). Le syndicalisme doit créer du lien social. Il doit contribuer à ce que les individus s'intègrent dans la société, dans le monde du travail (lien important de socialisation). Le syndicalisme en France : Une évolution constante En 1906, il y a eut l'adoption de la charte d'Amiens qui a posée les bases en France, d'un syndicalisme en France indépendant des partis politiques. [...]
[...] Par ailleurs, à mesure que la taille du groupe augmente, la probabilité d'action commune décline. Une analyse coût/avantage justifie souvent l'intérêt de la non-participation individuelle. L'explication à l'adhésion : Une partie des adhésions s'explique par l'approche utilitariste. Convictions, valeurs : Entre la moitié et 1/3 des adhésions jusque dans les années 1980. C'est l'approche utilitariste qui motive la majorité des adhésions (car utile). Raisons contextuelles : On se syndique pour faire comme les autres (à la suite d'un mouvement social). Traditions familiales : Concerne 20% des syndiqués. [...]
[...] En France : la première cause syndicale de solidarité est faute en 1879. C'est dans les années 1880 que se développe l'AFL (aux USA). Et c'est en 1895, qu'est créée la CGT. Les syndicats qui se sont constitués ont d'abord été : des syndicats de métier (vise à rassembler les salariés, ouvriers qui souhaitaient ne plus être liés aux corporations de métiers). Ces syndicats : Ont fait l'objet d'analyses dès le 19ème siècle par des sociologues : 3 grandes approches (auteurs : Karl Marx, Gustave Lebon, Emile Durkheim). [...]
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