Fiche d'histoire des idées politiques: Staline
Auteur et acteur politique, puisque la pensée de Staline n'est pas une pensée de 1er plan d'un point de vue théorique mais il a joué un rôle considérable. Joseph Wissanovitch Dougachvili, fils de cordonnier ; il suit des études au séminaire orthodoxe et est membre du parti social démocrate de Russie.
I. Les interprétations du stalinisme.
II. Les aspects idéologiques du stalinisme.
[...] Ce qui caractérise la pensée des socialistes français est une ambiguïté fondamentale avec à la fois une solidarité pour la Révolution socialiste et la considération que l'expérience soviétique n'est pas une expérience socialiste parce qu'elle n'est pas démocratique. On va distinguer un certain nombre de phases déterminées par les relations que le parti socialiste entretient avec le parti communiste. Les socialistes ont affirmé leur soutien à la révolution russe mais récuse le bolchevisme. Il y a au sein du parti socialiste un débat qui correspond au système européen. [...]
[...] En 1945, les accords de Yalta établissent une sorte de partage du monde et place l'Europe sous l'influence soviétique. Staline meurt en 1953. Il faut dire un mot des écrits de Staline : - 1913, le marxisme et la question nationale - 1924, des principes du léninisme - 1938, le matérialisme dialectique et le matérialisme historique L'influence de l'œuvre et de la personne de Staline. On peut apprécier son influence de façon positive et négative. Positivement, Staline était considéré comme un véritable dieu vivant. [...]
[...] Staline (1879 1953). Auteur et acteur politique, puisque la pensée de Staline n'est pas une pensée de 1er plan d'un point de vue théorique mais il a joué un rôle considérable. Joseph Wissanovitch Dougachvili, fils de cordonnier ; il suit des études au séminaire orthodoxe et est membre du parti social démocrate de Russie. Il s'exile à plusieurs reprises. En 1912 : membre du comité central. Après 1917 : Commissaire du Peuple aux nationalités jusqu'en 1922. Il devient ensuite secrétaire générale du Comité central. [...]
[...] De 1961 à 1970, le PCF ne parle plus du stalinisme si ce n'est pour rappeler la condamnation antérieure et la critique du culte de la personnalité. A partir des années 70, le PCF change dans un contexte où a commencé un débat sur le totalitarisme, le Goulag et met en avant un historien appelé Jean Elleinstein. Celui-ci considère le stalinisme comme un phénomène à la fois historiquement et géographiquement situé. Il donne une explication du stalinisme par un contexte international et par un certain nombre de traits liés à l'organisation interne du parti. II. Les aspects idéologiques du stalinisme. a. [...]
[...] Au moment où Staline meurt, l'Union Soviétique domine le mouvement communiste international qui est en pleine expansion. Le PCF et le premier parti de France. Cette sensibilité est telle que même au Royaume-Uni, il y a deux élus communistes à la chambre des communes au lendemain de la guerre. Le dernier aspect est ce que l'on a appelé la clarté stalinienne. A certain égard, Mao sera son continuateur direct. Staline s'adresse à des gens qui n'ont pas de culture, son langage est très dépouillé, très pédagogique. Il a un souci de simplification. [...]
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