Science politique, histoire académique, Révolution française, époque contemporaine, démocratie, souveraineté
Lorsque l'on parle d'une politique, on parle d'une politique publique, une politique/action finalisée. Analyse d'une adéquation de moyen en vue de réaliser une fin. On peut mobiliser des explications rationnelles et non rationnelles. Ex : comment peut on expliquer la politique militaire de l'Etat d'Israël depuis le 16 décembre 2008 ? L'explication rationnelle vise l'opinion publique et les Etats-Unis. En ce moment, l'Israël est en période de pré-élection. La démonstration de force contre le Hamas vise à s'approprier plus de voix. Par rapport aux Etats-Unis, pour limiter la 1ère puissance, qui devra se focaliser sur un cesser le feu à Gaza.
L'explication non rationnelle vise à expliquer une politique à partir de perceptions qui sont en décalage avec la réalité. Ex : Mitterrand en 84 à la guerre en ex-Yougoslavie.
[...] La nature chez Platon C'est un organicisme : il décrit la cité comme un organisme vivant. Les composants de la cité font écho aux composants de l'homme. C'est un grand être humain, c'est naturel. La nature c'est le grand tout de l'univers : ce n'est pas quelque chose de chaotique, c'est organisé par l'intelligence. Le monde a bien une âme qui gouverne ce monde. Dans la bouche de Socrate, cette intelligence du monde, c'est le démiurge qui crée le monde. [...]
[...] Fractures internes aux « civilisations » : pas d'homogénéisation culturelle, il y a des clivages internes. Thèse de la continuité : le 11 septembre n'est pas un symptôme d'un choc des civilisations. Anthony Giddels : pour lui, la modernité rime avec deux choses : Remise en question permanente des idées, des croyances rapport critique à la tradition. Kundera : « être moderne, c'est être amené à être fossoyable de soi-même ». Ce qui caractérise la modernité est la mondialisation. Cette dernière apparaît dès le 19ème siècle, dès l'apparition des Etats modernes. [...]
[...] La justice est un élément qui permet de montrer la capacité d'évolution. Convergences : Critique des sophistes : ils refusent le naturalisme. Formulation d'idéaux politiques. Focalisation sur les relations entre gouvernants et gouvernés : leur idéal, c'est une cité autarcique. Refus de penser l'être humain comme un individu doté de droits (philosophie Holiste). Religion a été un vecteur de modernité. Chapitre 2 : la religion chrétienne comme un prélude à la modernité Deux caractères de la modernité : L'individualisme : l'individu est à la base de la politique et doté de droits. [...]
[...] Apports constitutionnels : dans la production du droit constitutionnel après 1945, on va insérer des principes qui empêchent la transformation du régime politique parlementaire, démocratique. La nature du régime ne pourra faire l'objet d'une révision. On le trouve dans la loi fondamentale de 1949 en Allemagne et dans les Constitutions de la 4ème et 5ème République en France. La France n'a certes pas vécu d'expériences totalitaires mais le régime de Vichy a été produit à partir d'une déformation de la démocratie française. [...]
[...] Ce principe est le principe de distinction en démocratie ou bien un autre principe doit-il être appliqué, le principe d'identité entre gouvernés et gouvernants ? Ce principe de distinction diffère selon les Etats. Le cas de la Grande-Bretagne Comment est-ce qu'on désigne les gouvernants ? Il y a un climat culturel : la hiérarchie sociale. On va voter pour quelqu'un de différent, c'est l'élite locale. Facteur d'organisation : les campagnes électorales coûtent chers, celui qui se présente va prendre en charge les coûts. [...]
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