Science politique, Hobbes, politisation, État, Durkheim, Lévi-Strauss, Empire romain, féodalité, citoyenneté, État providence, Hegel, Friedman, capitalisme
Certains politologues parlent de la science politique au singulier et d'autres au pluriel. Il s'agit d'une différence de choix disciplinaires. Il y a dès le début une conflictualité dans la dénomination de la matière. Ceux qui parlent de sciences politiques sont ceux qui considèrent que l'étude de la politique ne constitue pas une science à part entière. Il faudrait parler de sciences politiques, car il ne s'agirait pas d'une science en tant que telle, mais la synthèse de plusieurs disciplines différentes. Si on étudie l'histoire de l'étude de la politique à l'ère occidentale, les exemples se restreignent à l'Europe. Si on jette un coup d'oeil à l'histoire de la politique, les politologues constituent une profession très récente à partir de 1970-1980.
[...] C'est vraiment un sentiment, un phéno immatériel psychosocial. Plus la société est sécurisée, plus elle est policée, plus le sentiment d'insécurité grandit, car les méfaits sont mis en exergue (médiatisation). L'instit des pratiques de lutte antiterroristes comme la généralisation policière de la surveillance électronique (affaire Scandle) constitue le signe le plus manifeste d'un risque grave d'une dérive idéologique des ED hors de leur cadre légitime L'Ed : l'action ne situe pas au-dessus du cadre juridique. Au nom de la lutte contre le terrorisme, l'État de droit est menacé par l'état stratège. [...]
[...] La possible mise en place d'une société sans état est difficile, voire compliquée. Fragilité d'une société sans État. Ultralibéralisme : Libéralisme radical par la limitation des pouvoirs de l'État. Il y a l'objectivisme. Monarchisme : pouvoir de l'état de plus en plus limité. Le mouvement radical est l'anarcholibéralisme. Friedman prône la suppression de l'État. Vivre au milieu des eaux internationales pour vivre sans état. C'est une idéologie très récente. Clanisme : intérêt du groupe Avant tout. L'état n'a pas d'intérêt pour les classistes. [...]
[...] C'est ainsi qu'on se rend compte que le principe de la loi est religieux. Ce sont les religions qui ont formulé les premières lois opposant le bien du mal, le vrai du faux. L'EM, c'est le produit de la sécularisation des lois religieuses il existe même des sociétés sans État. Clastres est un anthropologue fr des années 60-70. Il est héritier de l'école de sociologie d'Émile Durkheim, Levi Strauss. Son ouvrage est la société contre l'État (1974), le contexte est le suivant : 60- théorie de renouvellement politique de la conception de l'État. [...]
[...] On peut dire que la science politique n'a pas pour objet le pouvoir, mais pas le pouvoir en tant que tel. C'est le pouvoir politique qui est l'objet. On put le qualifier ainsi parce qu'il y a différents types de pouvoirs. Par exemple dans les sociétés occidentales qui sont marquées par une division du travail social et donc de champs sociaux. D'une manière globale, à tout pouvoir se rattache une institution qui le guide. Le pouvoir politique est pris en charge par l'État. [...]
[...] Qu'est-ce que la science politique ? Certains politologues parlent de la science politique au singulier et d'autres au pluriel. Il s'agit d'une différence de choix disciplinaires. Il y a dès le début une conflictualité dans la dénomination de la matière. Ceux qui parlent de sciences politiques sont ceux qui considèrent que l'étude de la politique ne constitue pas une science à part entière. Il faudrait parler de sciences politiques, car il ne s'agirait pas d'une science en tant que telle, mais la synthèse de plusieurs disciplines différentes. [...]
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