«Vendredi de la colère», «de la dignité»… voilà ce que crient depuis le début des évènements en Syrie les manifestants juste pour entendre les pros gouvernements leur rétorquer: " entre trois on ne choisirait que dieu la Syrie et Bachar".
Le monde arabe connait depuis plusieurs années des problèmes politiques stratégiques d'une grande ampleur. Marque par l'autoritarisme, la corruption, la répression et l'apparition des nouveaux moyens d'information et de communication, ont apparu les récoltes populaires qui se répandent dans le moyen orient. Après avoir accueilli l'idée de libération du monde arabe et la transition démocratique les médias ne sont toujours pas fixes sur une seule et unique qualification: révolte, révolution, soulèvement ou insurrection?
Dernièrement, la situation en Syrie est au cœur de l'actualité. En effet,aucun ne croyait la craindre et personne n'avait osé l'espérer, mais quel que soit les angoisses et enthousiasmes qu'elle réveille il s'agit bien d'une révolution. Elle a d'abord surgi au cœur de la Tunisie, enflamme l'Égypte pour ensuite s'installer dans l'ensemble du monde arabe, mais plus particulièrement en Syrie.
Cetter évolution fait l'objet d'un débati ntéressant d'où le choix de notre sujet malgré les difficultés que celui-ci soulevé. La première difficulté qu'on pourrait d'ailleurs rencontrer serait le manque d'impartialité, mais aussi le fait qu'aujourd'hui en Syrie comme le précise Francis Sitel: "tout est ouvert parce que tout est à faire."
[...] Mais la véritable question reste enfin de comprendre comment de nos jours les puissances toutes membres de l'ONU peuvent rester silencieuses face à tous ces massacres. Et comment le régime Assad peut-il continuer à avoir le support de pays prônant la démocratie ? Mais il est plutôt rassurant de noter que depuis deux jours à peine la Syrie a accepté sans réserve le plan de sortie de crise propose par la ligue arabe s'engageant à mettre fin à la répression dans le pays. L'actualité et le continu développement d'évènements imposent l'étude de la question sous la perspective de deux hypothèses. [...]
[...] Dernièrement, la situation en Syrie est au cœur de l'actualité. En effet, aucun ne croyait la craindre et personne n'avait osé l'espérer, mais quel que soit les angoisses et enthousiasmes qu'elle réveille il s'agit bien d'une révolution. Elle a d'abord surgi au cœur de la Tunisie, enflamme l'Égypte pour ensuite s'installer dans l'ensemble du monde arabe, mais plus particulièrement en Syrie. Cetterévolution fait l'objet d'un débat intéressant d'où le choix de notre sujet malgré les difficultés que celui-ci soulevé. La première difficulté qu'on pourrait d'ailleurs rencontrer serait le manque d'impartialité, mais aussi le fait qu'aujourd'hui en Syrie comme le précise Francis Sitel: "tout est ouvert parce que tout est à faire." il faut donc s'informer, débattre ce qui est en cours pour faire quelque pas sur cette voie et mettre à jour notre tpc o fur et à mesure a la lumière de l'actualité. [...]
[...] Pour ces raisons, si le mouvement populaire venait à être démoralise, Assad pourrait rester au pouvoir, mais bien sur des reformes seraient nécessaires du point de vue économique et même politique. Le multipartisme devra être considéré. Mais la chute du régime pourrait se réaliser par la démission plutôt improbable d'Assad comme en Égypte ou par un soulèvement arme comme en Libye. Mais il reste encore à savoir si ceci entrainerait le chaos dans la région ? Quel sera le sort des minorités qui était au pouvoir ? Et quel effet cette révolution aura sur les relations syro-libanaises et sur la région ? [...]
[...] Mais la véritable révolution sociale nait de la propagation d'internet dans le monde arabe à partir du début de XXI siècle. Ce nouveau moyen de communication s'est rapidement substitué aux journaux locaux censures. Le peuple et sa parole se libèrent. Les cyber-activistes se multiplient malgré les arrestations qui occurrent. En Tunisie par exemple c'est la génération Facebook qui est à l'origine des premières manifestations contre la dictature. En Égypte tout est parti du groupe nous sommes tous des Khaled Saïd EnLibye c'est l'arrestation du journaliste Jamal el Hajjiqui a déclenché la journée de la colère le 17 février 2011. [...]
[...] Au Yémen elle revêt un caractère tribal. En fait, certains auteurs parlent même de l' effet domino pour qualifier le tourbillon de manifestations et de protestations qui préparent le printemps arabe : le 28 décembre 2010 en Algérie, le 14 janvier 2011 en Jordanie, le 17 janvier en Mauritanie et à Oman, le 18 janvier au Yémen, le 21 janvier en Arabie saoudite, le 25 janvier en Égypte, le 26 janvier en Syrie, le 30 janvier au soudan, le 1erfévieràDjibouti, le 4 février à Bahreïn Mais doit-on vraiment associer la situation en Syrie au bloc des révolutions que l'on qualifie de printemps arabe ? [...]
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