Le Prince - Machiavel , fiche de 3 pages présentant l'ouvrage, en science politique
« Le Prince » (1532) est le travail qui fait une forte démonstration des toutes les faiblesses humaines. Ces faiblesses nous obligent à admettre la nécessité d'un Etat fort qui devrait garantir un ordre contre ces faiblesses, un ordre qui à son tour pourrait garantir le développement du bien à l'intérieur du chaque personne. Le fait est que la Renaissance a fortement marqué la pensée du Machiavel. C'était le temps quand on croyait que le pouvoir d'une prédestination divine perdait de plus en plus face à la conviction que le destin humain ou l'histoire du monde dépendent principalement des forces évolutives rationnelles. Bien sûr, cette conviction change aussi notre perspective sur l'histoire. Maintenant, on a développé le désir d'apprendre quelque chose d'utile de l'histoire. Enfin, d'après Machiavel, le bien état social dépend de la sécurité et de l'ordre. C'est l'Etat qui doit s'assurer de leur présence. Pour pouvoir accomplir ça, l'Etat doit être fort et centralisé. Meme les intérêts morals devient moins importants. Avec 26 chapitres en total, le traité du Nicolas Machiavel a toujours gardé l'originalité.
[...] C'était le temps quand on croyait que le pouvoir d'une prédestination divine perdait de plus en plus face à la conviction que le destin humain ou l'histoire du monde dépendent principalement des forces évolutives rationnelles. Bien sûr, cette conviction change aussi notre perspective sur l'histoire. Maintenant, on a développé le désir d'apprendre quelque chose d'utile de l'histoire. Enfin, d'après Machiavel, le bien état social dépend de la sécurité et de l'ordre. C'est l'Etat qui doit s'assurer de leur présence. Pour pouvoir accomplir ça, l'Etat doit être fort et centralisé. Meme les intérêts morals devient moins importants. Avec 26 chapitres en total, le traité du Nicolas Machiavel a toujours gardé l'originalité. [...]
[...] L'empereur Maximilian, par exemple renonce facilement à ses décisions à cause de son caractère faible et accepte celle de son ambassadeur, Luca de' Rinaldi. En somme, les bons conseils doivent être le résultat de l'intelligence du prince. XXIV Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États. Le but de ce chapitre est d'illustrer les conclusions qu'on peut déjà formuler à ce moment en les mettant en pratique grâce à la situation de l'Italie durant le XVIème siècle. L'intelligence peut donner l'impression qu'un nouveau et jeune prince a plus d'expérience dans ce domaine. [...]
[...] Le but de la forteresse existe ab antiquo. Néanmoins, Niccolò Vitelli et Guido Ubaldo qui décident de démolir quelques unités de ce type. Il y deux facteurs qui influence la construction des forteresses : la peur face aux invasions et la peur face aux exigences du peuple. Si la peur des invasions domine, il n'est pas nécessaire d'ajouter des forteresses, mais si la peur des sujets domine, alors, les forteresses sont nécessaires. La meilleure forteresse qu'un prince puisse avoir est l'affection de ses peuples. [...]
[...] Le lyrisme est évident et présent la situation de l'Italie à ce moment-là, après la lutte de Ravenne et la bataille gagnée contre les français au Navarre (1513). Machiavel réalise que cette victoire est passagère, que la guerre est encore très proche est que la situation de l'Italie reste fragile. La maison de Médicis se voit maintenant responsable avec une solution rapide être efficace contre une crise. Les Etats italiens peuvent résister l'invasion française seulement dans une formule d'unité. Virtù contra furore Prenderà l'arme, e fia'l combatter corto; Che l'antico valore Negl'italici cor non è ancor morto. Petrarca, Canz. XVI, V. [...]
[...] XXI Comment doit se conduire un prince pour acquérir de la réputation. La réponse est donnée par deux idées: celle de faire de grandes entreprises et celle de donner par ses actions de rares exemples. On utilise dans ce contexte l'exemple du Roi Ferdinand. Ferdinand le Catholique établit la monarchie espagnole par l'union faite avec Isabelle de Castille. Les actions militaires du roi espagnol ont comme but la consolidation de l'unité et la diminution de la noblesse féodale. La liste des grandes entreprises est très longue pour ce personnage : l'assiège de Grenade qui assure la base de son Etat, l'expulsion des marans (les juifs et les maures convertis au catholicisme), l'occupation de la partie du Nord de l'Afrique (d'Oran à Tripoli), occupation de Naples en 1504, la lutte contre les français à Ravenne (1512), l'armistice signé avec Ludovic le XII. [...]
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