partis politiques, groupes de pression, opinion publique, action politique collective, vie politique, Duverger, oligarchie
Partis : organisation de l'action politique collective. Ils ont des caractéristiques qui rendent leur étude particulièrement intéressante pour l'étude politique : durables, des intentions déclarées d'entrer dans la politique (cela les démarque des groupes de pression ou groupes d'intérêts). Les partis forment et initient les élites politiques et préparent les élites dirigeantes . Les partis socialisent politiquement, diffusent à l'ensemble de l'opinion publique des informations, des discours, des idées et des valeurs politiques. Forment l'opinion publique.
Apparition des partis coïncide avec le suffrage universel.
[...] Certains ont dit que la classe ouvrière devait avoir ses propres intellectuels, on parle de maturation. Gramsci a insisté sur le rôle de l'intelligentsia qui produit des idées soit conservatrices soit révolutionnaires et donc a un grand rôle. L'organisation nazie était fondée sur des milices et une org partisane. Les milices (troupes d'assaut) étaient constituées par des personnes estimées par l'adm hitlérienne comme la crème, des gens de race pure. De mm les faisceaux de combattants de l'org de Mussolini étaient les meilleurs. [...]
[...] À la base des partis, il y a donc des idées. Suivant les questions à l'ordre du jour et la composition du le P évolue. Et cette évolution peut l'entrainer à la bascule, à des alliances . Le rapport entre parlementaires et directeurs du parti est malaisé car les parlementaires finissent par avoir des agendas différents des P eux mm. Annik Kregel notion de cercles concentriques, les uns dans les autres : Dans un P de cadre : électorat, les membres, le collège (assemblée des responsables qui votent pour désigner les membres du bureau exécutif), le bureau exécutif, les leaders. [...]
[...] (le combat politique est un combat corrélatif de la nature humaine). Au Liban, pas de loi qui réglemente les partis politiques. (Des institutions qui fixent des cadres pour la compétition politique. Les pp inscrits dans la modernité (organisation rationnelle des rapports sociaux). Pour Rousseau, les partis étaient des factions et c'était la volonté général (désistement des volontés individuelles pour une volonté de l'Etat) qui primait. Pour lui, l'autorité était un mal mais nécessaire sans qui il n'y avait pas de liberté. [...]
[...] Plus un parti est grand, moins il communique avec la base et donc la com dans les 2 sens se transforme en une com dans un seul sens. Pb réel étudié par Roberto Michels (Les PP). il examine cette malformation des P de masse (moins de démocratie car tendance à tout vouloir contrôler et donner des instructions uniquement). Il parle de la tendance oligarchique des P de masse donc scepticisme de la démocratie dans ces partis. L'admission aussi n'est pas la mm dans les partis. [...]
[...] Les pays d'après la décolonisation ont vu apparaitre des P uniques et totalitaires. Mais surtout prépondérance du totalitarisme, le P se présentent comme représentant la masse. Donc pas d'application de la typologie de Duverger. (attention : le P de masse se veut plus représentatif, plus démocratique mais il ne prône pas le monopole, il a fait les élections, a fait des alliances donc les P de masse ne sont pas totalitaires. Ils s'accommodent de régimes libéraux et compétitifs). Hors occident P de masse mais allure qui rompt avec l'Occident avec une tentation totalitaire. [...]
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