nucléaire, bombe nucléaire, Hiroshima, Nagasaki, Seconde guerre mondiale, technologies, centrale nucléaire, nucléaire militaire, nucléaire civil, Fukushima, enjeux géopolitiques, géopolitique
D'une part, le nucléaire avec l'informatique et les biotechnologies sont un des piliers de la révolution technologique du 20e siècle. Deux aspects : nucléaire civil/nucléaire militaire. Le nucléaire est apparu de manière paradoxale avec Hiroshima et Nagasaki. C'est un outil monstrueux capable de vitrifier (= effet de souffle/ effet thermique et radioactif) des territoires.
[...] L'évolution de la menace militaire. Il y a eu 2400 nucléaires, ce qui fait qu'il y a des radio nucléide qu'on retrouve partout dans le monde. Le nucléaire ne fait plus l'opposition Nord/Sud. On a de vraie puissance nucléaire, des puissances intermédiaires (doute) et d'autre qui souhaite l'avoir. On a un pack de non-cohérence nucléaire. L'engagement n'empêche pas le renouvellement, c'est à dire une évolution des armes (ex : S400 de la Russie), où on peut éliminer une région comme les Hauts-de-France. [...]
[...] À propos de la question du retraitement des déchets : avant on mettait les déchets dans des conteneurs qu'on envoyait dans pays pauvres mais remis en cause par Mali, Sénégal, arrêt brutale. Ou alors mettre dans bloc de béton et jeté en mer. Mais béton vit que 40 ans donc après ça va poser un problème. Il y a aussi l'enfouissement en profondeur. C'est donc pour le moment la question numéro 1. Il y a plusieurs échelles dans les conflits / contestations. À l'échelle mondiale basée sur des réseaux politiques liés à l'altermondialisme. [...]
[...] Tensions fortes actuelles car élections en Inde : le meilleur moyen est la guerre pour garder le pouvoir. Renforce idée : l'arme nucléaire bien défensive. La bombe entre des mains instables. Le Pakistan La Corée du Nord : se met à parler aux États-Unis, on est dans une diplomatie d'opérette on peut discuter mais incapable de traiter questions. On a une puissance militaire équipée, et quelqu'un a sa tête instable. Usage pas impossible. L'Iran maitrise le nucléaire. Vers un terrorisme nucléaire ? [...]
[...] On a 1200 années- réacteurs : le nucléaire on connait. Malgré cette expérience les accidents ne sont pas évités : En 1979 : Three Mile Island au États Unis > défauts majeurs, mais très bien gérés après la catastrophe : Tchernobyl en Ukraine > on en a 300 dans le monde dans le même cas. Défaillance d'entretien : pièces qui auraient dû être changées. Gestion de crise scandaleuse : déficience économique majeur, pas les moyens. On met dalle en béton au-dessus car le cœur de la centrale est toujours en fonctionnement, impossible de l'arrêter, béton pour éviter que ça explose > pas fiable : Fukushima au Japon > séisme + tsunami qui a touché centrale, le central électrique morte provoque l'explosion du noyau. [...]
[...] La bombe entre les mains de terroristes ? Intoxication individuelle. L'enjeu = Il faut évaluer les risques de conflits On avait dans la logique de la guerre froide une analyse simple et rassurante, on se fait peur, en disant qu'on ne l'utilisera pas. Le monde post-soviétique est devenu plus complexe, on est passé à un danger connu à un ensemble vague de risques et de dangers (Johan Jorgen Holst). Le risque nucléaire doit être pris en compte par les stratégies et la géopolitique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture