MOUVEMENT, OUVRIER, socialisme
Au début du XIXème, les ouvriers sont peu nombreux, divisés et se révoltent dans de brusques flambées de violence rapidement réprimées.
A la veille de la première guerre mondiale, de puissantes organisations syndicales se sont constituées, qui ont gagné leur reconnaissance légale et des droits sociaux pour les ouvriers.
[...] *Russie: domination courants anarchistes jusque 1870's. Il faut attendre Plekhanov, qui traduit oeuvres de Marx en Russe.1872: première traduction et à partir de là progressive diffusion des idées de Marx.A la fin du siècle organisations qui se réclament du socialisme, une qui se réclame de Bakounine et Netchalev, formation du Parti Social Révolutionnaire et Parti Ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), se rattache au marxisme. Divisé en deux tendances: celle des Mencheviks (Martov), tendance réformiste qui au départ est minoritaire mais grandit vite en nombre.Mencheviks estiment que nécessité de passer par révolution bourgeoise. [...]
[...] Il développe une politique paternaliste. Il fait campagne en faveur de mesures sociales, estimant que l'Etat doit jouer un rôle dans la vie économique. Il cherche à bâtir des communautés ouvrières modèles, sans propriété privée, ni mariage, ni religion. Il tente de fonder une de ces communautés, dans la ville qu'il rebaptisera New Harmony ; l'expérience échoue, faute d'entente et d'organisation. Charles Fourier (1772-1837) : approche philosophique ; analyse des passions humaines, à utiliser comme facteurs sociaux pour atteindre le bonheur. [...]
[...] Cours d'histoire politique et culturelle 26/10/2011 SOCIALISME ANGLAIS : se manifeste tardivement, forme d'organisation de partis. progrès timide. Influence de la fille de karl Marx, Eleonore Marx Aveling et William Morris. Ce n'est pas un parti structuré, courant de pensée qui poursuit celle de marx, concentration autour de la philosophie marxiste. Autre courant beaucoup plus décisif: le courant Fabien, courant réformateur, influence décisive dans la définition du travaillisme à la britannique. Société fabienne tire son nom d'un certain fabius, un dictateur romain Fabius Cunctator(IIIè s avant JC).Il était venu à bout des troupes hannibals en temporisant, et les fabiens mettent l'accent sur la nécessité de temporiser, de réformer le socialisme, convaincus qu'il peut se réaliser progressivement par des moyens démocratiques. [...]
[...] Vont se former alors des chambres syndicales en France. Plusieurs tendances s'expriment : Marxiste, minoritaire. Proudhonienne, majoritaire. Des français participent en 1864 à la fondation de la Ière internationale. La même année, Henri Tolain publie le « manifeste des soixante », signé par soixante ouvriers parisien et considéré comme fondateur du syndicalisme français. Ce texte prône l'indépendance des syndicats à l'égard des partis politiques. La IIIème république est caractérisée par la Commune de Paris, qui sera réprimée en 1871. Cette répression décapite le mouvement ouvrier français. [...]
[...] Autre mouvement syndical : la « Grande union nationale consolidée des métiers » créée par Robert Owen en 1834, avec pour vocation de servir de caisse de retraite et d'assurance maladie En 1867 la loi « maitre-serviteur » est abolie ; en 1875 la semaine de 54 heures est adoptée, pour les femmes et enfants. Les trade-unions se développent, et se dotent de statuts. Un organisme commun est créé en 1860 pour les rassembler : le Conseil Syndical de Londres. Un Trade-union congress est organisé en 1868 ; le but dégagé est celui d'améliorer la vie des ouvriers, et non de détruire le capitalisme. [...]
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