Libéralisme, limitation du pouvoir de l'État, absolutisme, Lumières, libertés individuelles, Thomas Hobbes, Joseph de Maistre, lien social, tyrannie, violence légitime, séparation des pouvoirs, liberté de conscience, liberté d'expression, désobéissance civile, opinion publique, Benjamin Constant, Jeremy Bentham, conformisme, Alexis de Tocqueville
Le libéralisme est une doctrine qui naît pour combattre l'absolutisme, il se développe au siècle des Lumières. Le libéralisme luttait contre la monarchie absolue, l'Église catholique et la mainmise sur la liberté individuelle. Il s'opposait aussi au courant réactionnaire (contre les idées de la Révolution française). Joseph de Maistre tout comme Thomas Hobbes a une vision négative de l'homme, mais Joseph de Maistre avait cette vision, car il était catholique et donc croyait au péché originel, l'homme est donc mauvais par nature.
[...] - Droit général de liberté : faire tout ce qui n'entrave pas la liberté d'autrui. - Droit de propriété : un prolongement de l'individu, on ne saurait être privé de nos biens sans être atteint dans notre dignité. - Droit à la désobéissance civile : droit de désobéir aux règles si elles sont contraires. Si le pouvoir politique porte atteinte aux droits naturels, alors il devient un pouvoir illégitime et le peuple a le droit voire même le pouvoir de lui résister (selon les libéraux). [...]
[...] Libéralisme et limitation du pouvoir de l'État I. Le refus de la souveraineté absolue Le libéralisme est une doctrine qui nait pour combattre l'absolutisme, il se développe au siècle des Lumières. Le libéralisme luttait contre la monarchie absolue, l'Église catholique et la mainmise sur la liberté individuelle. Il s'opposait aussi au courant réactionnaire (contre les idées de la Révolution française). Joseph de Maistre tout comme Thomas Hobbes a une vision négative de l'homme, mais Joseph de Maistre avait cette vision, car il était catholique et donc croyait au péché originel, l'homme est donc mauvais par nature. [...]
[...] - Le libéralisme a pris acte du caractère primordial de l'opinion publique comme moyen efficace de contrôler et de limiter le pouvoir politique. - L'importance de l'opinion publique comme source de contrôle et comme sanction morale a été thématisée par Jeremy Bentham et Benjamin Constant. X. Opinion publique et conformisme Ce n'est pas un pouvoir prévu par la constitution, Alexis de Tocqueville n'est pas d'accord, car cela veut dire que l'opinion publique repose sur un critère de plus grand nombre. [...]
[...] IV. Le « gouvernement de la liberté » La liberté humaine peut être source de pouvoir, la constitution régie les limites des pouvoirs, la sécurité juridique, les lois protègent les libertés dans la mesure où elles garantissent la sécurité juridique. Elle est prévisible donc on peut agir librement sur la base des lois existantes. V. La séparation des pouvoirs La séparation des pouvoirs est un héritage des plus visibles du libéralisme, on assure cette séparation en leur assurant une certaine forme d'Independence. [...]
[...] La séparation signifie aussi qu'ils doivent se contrôler et se limiter mutuellement. Un pouvoir peut limiter un autre pouvoir (autre moyen de les contrôler). VI. La liberté de conscience La liberté de conscience doit être reconnue aux individus, l'État doit reconnaitre au peuple la liberté de conscience. Sur le plan religieux, le libéralisme se traduit par un accent particulier mis sur la liberté de conscience. VII. La lutte contre les « idées d'uniformités » Il existe un droit pour les individus de mener une vie qui selon les individus est bonne grâce à la liberté de choisir son mode de vie, la liberté d'expression. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture