Introduction à la science politique, science politique, comportements politiques, acteurs
Parce que le fondement premier de toute démarche scientifique c'est de commencer par définir les choses qu'on étudie. C'est l'une des règles méthodologique fondamentale posé par Emile DURKHEIM en 1895 « Les règles de la méthode sociologique » il rappelle l'importance de ce préalable méthodologique. Cela sert à rompre avec ce que DURKHEIM appelle les prénotions et puis ca sert précisément à clarifier du sujet sur lequel on va travailler en gros il s'agit de substituer au sen commun une première formulation de type scientifique.
On se heurte à plusieurs difficultés. 3 difficultés :
- Il n'y a pas de consensus autour de la définition de la science politique (on n'est pas d'accord ni même sur la façon de l'appelé)
- Qu'est ce qu'on doit entendre par politique dans science politique ? Est-ce qu'il s'agit du contenu d'une politique donnée, d'une ligne de conduite adopté par un acteur politique, d'un typer particulier d'organisation sociale ?
- Elle tient dans la difficulté de savoir de ce que l'on doit entendre dans science dans science politique ? Est une science comme les autres, science mathématiques ou science physique ?
D'où la nécessité de définir la science politique
[...] L'Etat despotique est pour Montesquieu est l'antithèse de la monarchie tel qu'il l'a définit qui repose sur une autre valeur la crainte, un régime où un seul sans loi et sans règles entraine tout par sa volonté et par ses caprices. Il introduit un principe de limitations de pouvoirs qui s'opère en vertu de principe moraux soit sur la base de principes institutionnelles (corps intermédiaire). Le pouvoir arrête le pouvoir : principe de la séparation des pouvoirs. Conclusion : Première raison la typologie met de l'ordre dans la diversité des formes de gouvernement. Elles mettent un principe fondamental de distinction des régimes, ce critère numérique des gouvernants pour différencier les régimes. [...]
[...] La citoyenneté est sous tendu par une conception normée, c'est celle du bon citoyen tel que la morale républicaine. Un bon respect des devoirs. On a constaté que dès que l'on s'accorde aux citoyens et à la politique ca ne fonctionne pas de la manière dont on nous décrit l'idéal républicain. La participation politique c'est l'ensemble des activités qui mettent en relation les gouvernements et les gouvernés types de participation politique, tout d'abord la participation politique appelé conventionnel, celle-ci comprend trois choses, premièrement l'activité électorale (démarche pour récupérer la carte d'électeur) ensuite l'information politique (se tenir informer, prendre part à une discussion politique) puis troisième et dernière chose c'est l'engagement partisans, prendre des responsabilités dans un partie. [...]
[...] - Qu'elles sont les interprétations que l'on peut donner de ce phénomène ? Quel est l'Etat des lieux de l'abstention aujourd'hui Définition et calcul de l'abstention Acte qui consiste à ne pas voter un jour de scrutin que ce soit de manière volontaire ou involontaire. Calcul : on prend le nombre des votants et on le rapporte au nombre des inscrits, c'est-à-dire au nombre de citoyen inscrit sur les liste électoral aujourd'hui environ 44 millions. L'ampleur inégalée depuis 20 ans Concrètement le phénomène a commencé à apparaitre et à s'intensifier dans les années 80, en 1984 les élections européennes date d'apparition d'intensification du phénomène en France. [...]
[...] Suffrage universel 1848, Letrue- Rollin, suffrage universel masculin, pour être électeur faut toujours être un homme plus nécessaire d'avoir 25 ans mais 21 ans, et par ailleurs plus nécessaire de payer un impôt. L'abaissement de l'âge engendre une explosion du corps électoral, on passe de à un corps qui en comprend 9 millions. Pour être électeur il faut habiter son lieu de résidence de puis au moins 3 ans, automatiquement tout une partie de la population se retrouve exclue du corps électoral. Grand progrès de 1848, on va rester dans ce régime censitaire jusqu'en 1944. Troisième période de 1944 à nos jours. [...]
[...] En des personnes interrogés estimaient que les hommes politiques ne se préoccupe que très peu ou pratiquement pas de ce qu'ils pensent des personnes interrogés qui considèrent que la classe politique est corrompue. Troisième indicateur sont les niveaux d'abstention, évaluer l'Etat de la représentation politique. L'abstention n'a pas cessé d'augmenter y compris pour ce qu'on considère être l'élection la plus mobilisatrice, pour l'élection présidentielle entre 1980 et 2002 on a put observer une augmentation de 15 point de pourcentage de l'abstention. On estime à peu près à 10% les français en âge de voter qui ne sont pas inscrits sur les listes. [...]
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