Idées politiques antiques, Grèce antique, Sparte, Athènes, modèles spartiates, cités grecques, magistrat Solon, polis, système aristocratique, impérialisme, philosophie des sophistes, démocratie
La pensée politique n'est formulée que par des auteurs : les médias en formulent également. Par rapport à Marx qui à une vision globale du monde, d'autres auteurs posent des questions plus précises. La polis est le cadre commun de l'expression politique et de la vie sociale. Une cité est une communauté humaine composée de citoyens associés à un territoire, à un pouvoir qui repose sur des institutions et pouvant agir au plan extérieur.
[...] Les idées politiques de la Grèce antique : Sparte et Athènes La pensée politique n'est formulée que par des auteurs : les médias en formulent également. Par rapport à Marx qui a une vision globale du monde, d'autres auteurs posent des questions plus précises. La cité grecque : les modèles spartiates et athéniens La « polis » est le cadre commun de l'expression politique et de la vie sociale. Une cité est une communauté humaine composée de citoyens associés à un territoire, à un pouvoir qui repose sur des institutions et pouvant agir au plan extérieur. [...]
[...] Mais en réalité, Sparte semblait être plutôt une oligarchie (quelques familles influentes qui monopolisent le pouvoir politique). II. Athènes Ces institutions sont mieux connues, on est beaucoup moins dans le domaine du mythe et de la légende. La monarchie a été abolie à Athènes aux alentours de -680. On a un premier magistrat Solon qui va établir un système de type aristocratique, puis la tyrannie de Pisistrate et ses fils, puis Clisthène qui instaure la démocratie. Pendant un certain moment, la Tyrannie n'est pas un mauvais régime : elle le prélude à la démocratie. [...]
[...] Mais Athènes constitue bien les débuts de ce que l'on nomme « démocratie ». Mais reste loin des démocraties actuelles : Athènes : 400 ?000 à 600 ?000 habitants, seulement entre 20 ?000 et 30 ?000 citoyens. C'est une cité esclavagiste ?; une grande partie de l'économie athénienne est basée sur l'esclavage, les étrangers payent une taxe. La démocratie est toujours la proie de la démagogie (c'est vrai à Athènes). L'intérêt général est toujours déstabilisé par l'intérêt personnel. Aristophane (fasciste avant l'heure), dénonce les risques de la démocratie. [...]
[...] Le mandat est annuel (dure 1 an) et est donc souvent renouvelé. On pratique l'élection uniquement pour les magistratures les plus hautes. • On a une assemblée du peuple « l'Ecclésia », qui transcrit l'idée du monisme (ecclésia donnera le mot ecclésiastique). Cette assemblée vote les projets de loi, élit les magistrats supérieurs, décide de la guerre ou de la paix, observe la reddition des comptes des anciens magistrats. Elle peut voter l'ostracisme (bannir certains citoyens de la cité). Tout citoyen peut mettre son veto sur une loi proposée par un autre par le « graphé para nomon », qui lui permet (en quelque sorte) de contester la constitutionnalité de la loi, et le perdant (après un vote de l'assemblée) est exclu de la cité. [...]
[...] Cela va donner la phalange spartiate qui domine la zone grecque au -Ve siècle. La Constitution met par ailleurs en place des institutions. On va y trouver deux rois, issues de deux dynasties, qui sont des chefs religieux et militaires. On trouve un Conseil des anciens, la « Guérousia », composé de 28 vieillards ans). Cette Guérousia représente un élément aristocratique : Les citoyens sont rassemblés dans l' « Apella », une assemblée populaire démocratie directe. Il semble cependant que cette assemblée n'est pas jouée un rôle très important. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture