Idées politiques, Antiquité, Grèce Antique, cité des hommes, philosophie politique, mise en cause de la démocratie
Les civilisations grecques et romaines sont des civilisations méditerranéennes qui ont une influence européenne et orientale importante.
La Grèce est influencée par un Orient qu'en même temps elle rejette, elle veut rester originale et malgré tout elle va déborder sur l'orient et en débordant les Grecs vont s'orientaliser et la pensée grecque va influencer l'orient et par la suite la pensée romaine.
Les cités grecques s'étendent vers le 5e siècle avant J-C. L'expansion romaine se situe entre le 5e siècle et le 1er siècle avant J-C.
[...] Faire de la politique signifie que l'on doit être instruit et vertueux. La condition fondamental de la démocratie est l'instruction, plus les gens sont instruit, plus les gens sont capable de prendre en main leur destin politique. Section II- La cité de Cicéron Elle est comme la cité grecque nécessaire, ce n'est pas un plus, un contrat. C'est un fait naturel qui s'impose à l'homme, ce n'est pas un fait humain. Et puisque tout peuple est groupé en cité, l'autorité est la conséquence du regroupement des hommes et donc elle est naturelle. [...]
[...] Xénophon décrit les divers régimes politiques dans une classification qui est très ancienne. On a la démocratie, l'aristocratie (le gouvernement des meilleurs), la ploutocratie (gouvernement des riches), et la monarchie (le commandement d'un seul). La monarchie n'est pas nécessairement la royauté. Cette dernière a toujours un caractère religieux, un roi ne peut pas faire n'importe quoi, il est porteur de règles, il est obligé de les respecter. Un roi n'est pas nécessairement un monarque comme en Angleterre, elle ne gouverne pas. [...]
[...] Le pouvoir politique ne se limite pas à l'ordre public. Elle va entrer jusque dans la morale et dans la famille ; il va régler l'organisation familiale. On ne doit pas laisser à chacun la liberté de vivre comme il l'entend. Rien ne doit être laissé à l'initiative individuelle car l'homme est égoïste par nature. Platon n'a aucune confiance dans un ordre spontané, il n'a pas confiance non plus dans la liberté de l'être humain, même dans leurs actions privé. [...]
[...] Mais il y a une autre tendance qui est culturelle, elle considère qu'appartient au même monde tout ce qui parle la même langue. On va définir dans cette idée de panhellénisme important, on va estimer que sont des hellènes (Grecs) ceux qui participent à la culture Grecque. Un barbare peut devenir hellène, devenir cultiver, se civiliser. Il y a donc ici, chez Isocrate, les 1ers éléments d'un cosmopolitisme mais celui-ci va prendre une plus grande ampleur avec les cyniques d'un côté et les stoïciens de l'autre. Les cyniques sont anarchistes. A. Les Cyniques. [...]
[...] Il fait plus de l'histoire que de la philosophie. Il y a l'idée que pour en sortir il ne faut pas retomber dans ces travers. Lorsqu'il cherche un chef il lui donne une légitimité qu'il tire de sa clairvoyance, de sa connaissance technique et du fait qu'il est toujours à la recherche du droit commun. On va reprocher à la démocratie de sacrifier le bien commun pour un parti dominant (celui des pauvres). Xénophon a été lu pendant des siècles, et ses livres sont un classique de l'élève apprenant le grec ancien. [...]
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