Groupes de pression, lobbies, organisations syndicales, mouvements religieux, Gabriel Almond, G Bingham Powell Jr, Eisenhower, complexe militaro-industriel, modes d'action, exécutif, Trade Unions Congress, SPD allemand, CGT, lobbying, comité économique et social, mur d'argent, Édouard Herriot, Édouard Daladier, général de Gaulle
Le vocabulaire peut être changeant. On parle aussi de groupes d'intérêts, de groupes d'intérêts communs et surtout de lobbies.
Le mot lobby est une référence aux groupes américains qui font les couloirs (lobbies) du Congrès ou de l'administration de la Maison-Blanche. Par exemple, on estime qu'à Bruxelles ce sont 3 000 groupes d'intérêt employant jusqu'à 10 000 personnes qui font du lobbying.
[...] Mais bien évidemment, les groupes de pression essaient de dominer les moyens de communication. La reconnaissance et l'encadrement des groupes de pression Les groupes de pression institutionnalisés Les États ou les organisations internationales peuvent donner une place à ces groupes dans des instances de dialogue. Dans l'Union européenne, c'est au sein de comités consultatifs ou de groupes d'experts qui gravitent autour de la Commission. La reconnaissance peut être à l'intérieur d'institutions officielles. Mais on y trouve les groupes de pression honorables , ayant pignon sur rue. [...]
[...] Les liens entre le patronat britannique et le Parti conservateur sont réels. Le lobbying joue à tout niveau, pouvant aussi bien toucher les décideurs d'une commune, sous réserve qu'elle ait une dimension intéressante, pour obtenir la conclusion de marchés publics, que bien sûr ceux de l'Union européenne où la pratique du lobbying est devenue particulièrement forte, voire insupportable. Si les premiers lobbies étaient politiques, l'Acte unique européen a multiplié les lobbies, essentiellement des fédérations européennes d'associations nationales. Ce sont des lobbies en faveur des régions européennes, des fédérations européennes, et des groupes représentant de grandes entreprises. [...]
[...] Groupes de pression et autres organisations Le vocabulaire peut être changeant. On parle aussi de groupes d'intérêts, de groupes d'intérêts communs et surtout de lobbies. Le mot lobby est une référence aux groupes américains qui font les couloirs (lobbies) du Congrès ou de l'administration de la Maison-Blanche. Les groupes de pression, partenaires ou adversaires du système politique ? Variété des groupes de pression Les groupes de pression sont innombrables. Par exemple, on estime qu'à Bruxelles ce sont 3 000 groupes d'intérêt employant jusqu'à 10 000 personnes qui font du lobbying. [...]
[...] On peut aussi distinguer les groupes de pression inorganisés et les groupes organisés. Les groupes inorganisés peuvent être les groupes liés à une origine ethnique (Italiens, Noirs, Latinos aux États-Unis), religieuse (catholiques, juifs, musulmans . Aux États-Unis, suite aux propos d'Eisenhower dans son discours d'adieu (Farewell address le 17 janvier 1961), on a pu évoquer le complexe militaro-industriel. D'autres groupes sont organisés comme les syndicats ou encore des organisations d'anciens combattants comme l'American Legion aux États-Unis. Modes d'action Les modes d'action sont également très divers en raison des caractéristiques des groupes et des objectifs poursuivis. [...]
[...] Il y a actuellement officiellement 34 000 lobbies, leur nombre ayant pris une extension considérable. La France s'est aussi engagée dans ce sens. L'exemple du Sénat même s'il est bien limité est un premier pas. Les représentants des groupes d'intérêt peuvent avoir accès à certains locaux du Sénat sous réserve d'une inscription sur un registre rendu public. Ils doivent respecter un code de conduite et notamment déclarer les invitations à des déplacements qu'ils adressent aux sénateurs, à leurs collaborateurs ainsi qu'aux fonctionnaires et instances du Sénat. [...]
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