pouvoir politique, démocratie athénienne, Clisthène, tyrannie, oligarchie, isonomie, démocratie
Une tyrannie est alors instaurée en 560 et 510 par Pisistrate et par sa famille Pisistratides puis Hipparque et Hippias. Ils arrivent à convaincre les grandes familles, mais sont souvent confrontés aux aristocrates, mais il a le soutien du peuple. La société évolue malgré tout vers la démocratie, car le tyran d'appui sur le peuple. A la mort d'Hipparque, Hippias prend seul le pouvoir et est contraint de partir à cause de sa politique trop dure. C'est la famille des Alchéonides menée par Lithogène. Il demande le soutien militaire de Sparte et de son Roi Cléomène.
[...] C'est le seul cas avec Mantinée dans la Grèce antique. À cette souveraineté populaire, il faut ajouter la notion de tirage au sort qui rejoint la notion d'isonomie et celle de responsabilité des magistrats devant le peuple. Tout citoyen athénien est membre de l'ecclésia. L'effectif réel lors des séances de l'ecclésia est difficile à établir. Le nombre de citoyens à atteindre lors de la prononciation des ostracismes est sans doute déjà dur à atteindre. Les séances se déroulaient dans la Pnyx 6 fois par prytanie. [...]
[...] Nouveau calendrier Un nouveau calendrier civique est mis en place. Il est divisé en 10 mois de 36 jours. On parle de dix prytanies. Pendant l'une d'entre elles bouleutes d'une tribu deviennent prytanes et doivent loger au prytanée. Durant une journée, l'épistate est tiré au sort et détient de nombreux pouvoirs : chaque citoyen ne peut être épistate qu'une seule fois. E. Ostracisme Clisthène serait responsable de l'introduction de l'ostracisme (des doutes subisistent) qui était une procédure d'exclusion temporaire d'un citoyen pour des motifs politiques. [...]
[...] Les formes du pouvoir politique dans la démocratie athénienne Une tyrannie est alors instaurée en 560 et 510 par Pisistrate et par sa famille Pisistratides puis Hipparque et Hippias. Ils arrivent à convaincre les grandes familles, mais sont souvent confrontés aux aristocrates, mais il a le soutien du peuple. La société évolue malgré tout vers la démocratie, car le tyran d'appui sur le peuple. À la mort d'Hipparque, Hippias prend seul le pouvoir et est contraint de partir à cause de sa politique trop dure. [...]
[...] La Boulè Composition : Il instaure la Boulè, conseil de 500 membres soit 50 dans chacune des 10 tribus, pas payé au début, mais tâche lourde. Il faut : passer un examen qui détermine si le candidat est apte à sa tâche, être citoyen et posséder des vertus civiques. Ou ? : Les séances de la Boulè ont lieu dans le Bouleutérion. Rôle : Ils préparaient les lois (probouleuma) pour l'assemblée, surveillaient l'application des lois et les magistrats. La Boulè était l'organe permanent représentatif du peuple. D. [...]
[...] Cela se justifie pour les Grecs par l'intervention du divin. Le hasard et la liberté totale sont limités d'abord par la prokrisis : on élit préalablement les candidats à un conseil, qui seront tirés au sort ; puis par la dokimasie qui est une vérification de la citoyenneté du tiré au sort, du service militaire effectué, du culte pratiqué et des taxes payées. Enfin, les magistrats sont responsables devant le conseil auquel ils font leur reddition de compte. L'ecclésia, par la procédure d'eisangélie, contrôle les magistrats : chacun peut déposer une plainte contre un magistrat pour des raisons politiques ou financières. [...]
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