Forces politiques, origine des partis, filiation wéberienne, agents de socialisation, idéologie, compétition politique
De manière plus ancienne, dans la grèce antique où que le terme parti n'existe pas, on observe une vie politique mais pas des partis. Les éléments constitutifs d'une entreprise politiques sont notables : un chef, une clientèle.
Quant à la République romaine, on note la naissance de véritables partis politiques. Ce sont des factions organisées de lutte politique où il y a des clientèles, des chefs de parti mais qui présente déjà des signes de stabilité, des embryons de programme avec des groupes sociaux déjà affirmés ce qui différencie considérablement la vie athénienne et romaine.
Le terme de parti remonte à l'époque médiévale, il renvoie à l'armée : le parti militaire, des soldats. Au Moyen-âge, on voit apparaitre des organisations qui structurent fortement la vie politique. On note par exemple des luttes sociales entre plébéiens et patriciens, autrement dit il existe des luttes stratégiques à l'intérieur des cités. La guerre des deux roses en Grande Bretagne avec le parti royaliste et le parti des féodaux est un véritable clivage autour de dynasties et toutes les guerres en Europe rendent compte de l'existence d'organisations politiques : convictions, intérêts, mobilisations miliciennes, sociales, religieuses, intellectuelles…
[...] Les systèmes démocratiques font apparaître la pluralité des idéologies. Le rapport à l'idéologie sera différent. Il y a le développement du mythe de la fin des idéologies qui porteraient sur ce non-concept de dépolitisation. Effectivement il y a effondrement des grandes idéologies du XXème siècle. Ce n'est la fin que de certaines idéologies. Dans les systèmes démocratiques de l'Etat providence (garantie des droits), ce consensus autour de l'Etat de droit est aujourd'hui extérieur. L'intégration à l'espace européen vient limiter les choix politiques et donc limiter le champ d'application des idéologies. [...]
[...] Les fonctions de mobilisation . peuvent être évoquées mais pas installées comme appareil explicatif des partis. Les avantages, notamment dans l'appareil de question, même les fonctions entre elles peuvent être interactives mais avec l'ensemble des questions sur les partis politiques (sociation, histoire . Les forces constituant ces partis, à l'origine des partis servent ces partis et s'en servent. Le parti ne doit pas être considéré comme une entité stable car à l'intérieur et à l'extérieur, des unités se servent du parti. [...]
[...] Il y a des interdits qui visent à préciser les conditions de fonctionnement. La soi disant opposition entre un système démocratique qui serait l'expression de la fin de l'idéologie relève du mythe. La dépolitisation relève été présenté comme une évolution) des marques d'appréciations portées par les uns et les autres sur l'idéologie. Cette dépolitisation a des conséquences pratiques. Certains partis se disent dépolitiser, sans idéologie. Cette dépolitisation s'est traduite dans la sociologie par des transferts massifs. L'idéologie, les idéologies, sont des constructions historiques. [...]
[...] La consécration des partis comme instrument fondamental de la participation politique, il n'est plus réduit à la participation électorale, c'est dire leur importance comme relais des demandes des besoins des individus et des groupes. Leur création et l'exercice de leur activité sont libres dans le respect de la constitution et de la loi Leur structure interne et leur fonctionnement doivent être démocratiques. Leur fonctionnement ne doit as démentir les structures. C'est tout le problème de l'interdiction des partis pour non respect de la constitution qui est ici posé. [...]
[...] L'analyse fonctionnaliste, structuro-fonctionnaliste, due à K. Merton notamment, l'analyse systémique d'Easton, va arriver à une théorie du système. La notion de système est large, elle est empruntée aux sciences dure. Elle vise à mettre en évidence deux choses : les éléments, les unités qui constituent un système qui varient de vocabulaire selon le système choisi ces éléments, ces unités ont pour caractéristique d'être impliquée dans un ensemble de relations voire d'interactions. Les relations sont établies entre des unités constituées, homogènes, définitives. [...]
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