Sciences politiques, monarchies héréditaires, monarchies électives, gouvernements collégiaux, Médicis, Habsbourg, constitution mixte d'Aristote, tradition de l'acclamation du roi, tradition des états généraux, tradition thomiste, Guillaume Budé
Si on se transporte au 16°siècle, on constate qu'au début de ce siècle, il y a environ 3 systèmes politiques en place : des monarchies héréditaires qui se proclament souveraine depuis 2 ou 3 siècles. Puis il y a quelques monarchies électives ou des grands électeurs élisent l'empereur (exemple de l'empire germanique). Ensuite on a ce qu'on appelle des républiques, des territoires petit gouverné par des gouvernements collégiaux souvent aristocratiques (rép. De vienne par exemple). Mais on constate qu'un phénomène se développe, un renforcement de l'autorité des gouvernants et une certaine hérédité du pouvoir.
[...] Une sorte de révolution arrive et le moine Savonarole instaure une sorte de théocratie et dans cette dictature religieuse, une des principales familles qui dirigeaient la ville les Médicis ont été chassés. Quelques années après, vers 1512, la théocratie est stopper par une révolte et on fait revenir les Médicis. Dans ce contexte arrive Machiavel, conseillers politique des Médicis qui n'ont pas suivi la famille une fois chassé de Florence est qui les voit revenir à Florence en 1512. Les Médicis le chasse alors de Florence et il part en exile et écrit Le Prince en 1512. [...]
[...] Le 16ème siècle : Une renaissance politique. Si on se transporte au 16°siècle, on constate qu'au début de ce siècle, il y a environ 3 systèmes politiques en place : des monarchies héréditaires qui se proclament souveraine depuis 2 ou 3 siècles. Puis il y a quelques monarchies électives ou des grands électeurs élisent l'empereur (exemple de l'empire germanique). Ensuite on a ce qu'on appelle des républiques, des territoires petit gouverné par des gouvernements collégiaux souvent aristocratiques (rép. De vienne par exemple). [...]
[...] Pour cela, il doit avoir une armée de professionnel, ce qui n'existait pas à l'époque. Et l'armée comme moyen politique deviendra une longue tradition (Napoléon, le coup d'état d'Algérie, ) Machiavel n'a-t-il alors aucune limite ? On remarque dans son ouvrage que l'idée du bien commun n'est pas écartée et le meilleur prince est celui qui pourra s'imposer sans mauvaise action, sans mauvaise idée. Le prince qui s'imposera naturellement sera toujours meilleur que celui qui n'utilise pas de moral car cela bénéficie au renforcement du Prince. [...]
[...] Par exemple, laissons croire au peuple que les rois sont de droit divins s'il est attaché à la religion, ainsi, il obéira plus facilement. De là découle le deuxième argument, l'utilisation de la propagande. En effet, pour lui, la fin justifie les moyens et tous les coups sont bons pour rester au pouvoir, ainsi, un roi faible doit faire croire qu'il est fort et pour cela, on peut mentir, tricher. Et là c'est la mise en avant de deux principes, la Fortuna et la Virtu. La Fortuna c'est la chance et le destin, la Virtu signifie la force. [...]
[...] Il est un des plus grands intellectuels de la renaissance, un des grands humanistes. Comme tous les intellectuel, il va prendre des exemples dans l'Antiquité, et écrit un ensemble de petite histoire avec lesquelles il tire des leçons de morale politique et, de l'Antiquité, il remarque que les gouvernants ont souvent mis leur moral de côté. Il remarque que les rois et empereurs qui ne réussissaient pas était faibles et ne se laissait pas guidé par l'action mais par leur moral. [...]
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