Il y a trois droites : les légitimistes, monarchistes qui refusaient la Révolution française ; la droite bonapartiste, parallèle avec De Gaulle ; les droites modérées, longtemps incarnées par l'UDF. Ces derniers sont partisans du juste milieu, et au libéralisme économique, ils sont aussi conservateurs au niveau social, et partisan du principe de l'Europe.
Le gaullisme se caractérise par le principe d'autorité, de la gloire, de l'égalitarisme et d'une dimension populaire qui se retrouve dans le bonapartisme au travers de l'appel direct au peuple.
[...] Une droite classique dominée par une famille gaulliste : du RPR à UMP, vers un parti de droite comme un autre Il y a trois droites : les légitimistes, monarchistes qui refusaient la Révolution française ; la droite bonapartiste, parallèle avec De Gaulle ; les droites modérées, longtemps incarnées par l'UDF. Ces derniers sont partisans du juste milieu, et au libéralisme économique, ils sont aussi conservateurs au niveau social, et partisan du principe de l'Europe. Le gaullisme se caractérise par le principe d'autorité, de la gloire, de l'égalitarisme et d'une dimension populaire qui se retrouve dans le bonapartisme au travers de l'appel direct au peuple. [...]
[...] Plus mauvais score de la droite aux législatives sous la cinquième république au premier tour. Passe de 477 sièges à 256, dont 139 pour le RPR et 109 pour UDF. Présidentielle en 2002 : Jacques Chirac arrive en tête du premier tour, mais avec le plus mauvais score pour un président sortant, face a Le Pen. Réélection à 82% face à Le Pen. Capacité d'imposer un parti unique. Les investitures pour les élections législatives sont attribuées au titre d'une nouvelle organisation : l'union pour la majorité présidentielle. [...]
[...] on se trouve face à un RPR marqué par le pragmatisme. La question posée est de savoir si le parti doit garder son autonomie ou se fondre comme un grand parti conservateur. Les gaullistes ont du mal à forger une véritable culture de débat, il y avait l'idée qu'un an plus tard serait créé des courants, mais on va revenir sur cette position. On remet en cause l'existence de courants et en 2007, Sarkozy va placer UMP à droite. Projet de Sarkozy de libéral sécuritaire : un fort libéralisme économique et s'accompagnant d'un discours sécuritaire. [...]
[...] Lors des élections législatives de 1986 : 127 sièges pour le RPR et 126 pour UDF. Jacques Chirac représentait le RPR, Raymond Barre UDF. Ensuite députés pour UDF. Élections de 1993 : contexte politique négatif. La victoire de la droite ne fait aucun doute. Après de difficiles négociations primaires officielles. Les candidats RPR comptabilisent il est gagnant des primaires officiels. Jacques Chirac décide de ne pas redevenir premier ministre. Il laisse la place à Édouard Balladur contre 28,9% pour les cantonales de 1994. Balladur va être soutenu par UDF, les parlementaires sont divisés. [...]
[...] Homogénéité de l'électorat de la droite classique et du centre. On constate une accentuation de la surreprésentation du vote des femmes et très nettes progressions des 65 ans et plus pour Chirac. En 1988, les deux catégories les plus importantes sont les agriculteurs et les employées, les deux élections suivantes on constate une forte augmentation des catégories populaires, au dépens des agriculteurs. Baisse des artisans et commerçants également. En 2007 le vote est un peu plus féminin et plus âgé en faveur de Sarkozy, électorat classique de droite agriculteurs, petits commerçants et artisans des cadres et professions intellectuelles). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture