démocratie représentative, démocratie, état, démos, kratein, Giovanni Sartori, Claude Lefort, Guy Hermet, Florence Hegel, contre démocratie, conception athénienne, théorie du gouvernement représentatif
Il est contestable de ne considéré la démo que comme un régime, si on le fait c'est un régime flou qu'il faut expliciter.
L'étymologie est grec, c'est la contraction de démos le peuple, et le kratein le pouvoir, c'est le pouvoir du peuple. Le peuple exerce encore le PV. La démocratie est apparue à Athènes et elle désigne alors une expérience inédite fondée sur la participation d'une proportion importante de citoyens au gouvernement de la cité.
[...] La dialectique c'est la représentativité, l'arithmétique, la démocratie. La démocratie c'est nécessairement un phénomène de masse, c'est le régime du plus grand nb. Le principe de la raison est que la démocratie doit faire prévaloir le jugement raisonnable. Il ya une forme d'exigence de rationalité dans la démocratie. Les hommes naissent raisonnables et ce qui est le principe du suff universel que l'on confie le droit de vote aux citoyens dès lors que l'on juge qu'ils sont capables de faire usage de leur raison. [...]
[...] ) Une démocratie n'existe que pour autant que des idéaux et des valeurs lui donnent naissance Il existe une tension entre l'idéal celui de l'égalité citoyenne, de la participation active des citoyens et la réalité : l'inégalité sociale de participation, la passivité des citoyens, la captation du pouvoir par les élites, le verrouillage de décision. La démocratie est vouée à décevoir dans la mesure où c'est un idéal inachevé. Claude Lefort : il y a une indétermination constitutive de la démocratie. La finalité de la démocratie c'est ce que le peuple décide pour lui, il n'y a pas de transcendance de la démocratie lieu vide c'est un lieu à construire. La démocratie se caractérise par l'indétermination du bien commun et par la nécessité de sa mise en débat permanent. [...]
[...] Aujourd'hui, on peut parler d'une contre démocratie (Pierre Rozan Vallon). Il constate que dans les démocraties contemporaines on observe un affaiblissement des mécanismes électoraux et partisans qui se manifeste par des phénomènes comme l'abstention, le vote blanc, la crise de la légitimité, la crise du militantisme. On observe la multiplication des épreuves de surveillances, de jugement et de contrôle pesant sur les gouvernants. Elle entrave et limite le pv des gouv. Il observe une démocratie négative, c'est lorsque le vote devient seulement une sanction des gouv en place. [...]
[...] On étudiera plus loin la pensée élitisme. Les Grecs ont dvlp une forme de prescience de l'élitisme insérant à l'élection. Tous les philosophes grecs ne sont pas favorables a ce régime, Platon dans la république, fait une critique virulente de la démocratie, pou lui c'est au philosophe que doit être confié la vie bonne Aristote, a une vision plus élitiste de la politique, il considère que les postes de gouv ne doivent pas être confié à n'importe qui et que l'élection a une fonction de contrôle des gouvernants, le règne des compétents a ces partisans dans la pensée grecque. [...]
[...] La conception de la démocratie représentative va être celle aussi des révolutionnaires de 1789, et notamment l'abbé Sieyès. Il déclare le 7 sept 1789 le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ces représentants. Il met en avant un argument matériel : la taille de l'état. Qui exclurait la démocratie directe, il est difficile pour le peuple d'exercer directement le pouvoir parce que la pop est trop nb et les tâches qui incombent à l'État sont trop vastes. [...]
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