Ve République, Charles de Gaulle, historique, institution, élection, date, accords d'Evian, Algérie française, budget, référendum, auto-détermination, Pierre Fimlin, Gaston de Monerville, Georges Pompidou, Michel Debré, François Mitterrand, Giscard d'Estaing
Le document est une fiche de cours reprenant un historique rapide des débuts de la Ve République. Les sujets abordés comprennent les institutions, les élections et plus généralement la politique.
[...] Pour cela, il veut réviser la Constitution notamment avec l'article 89. Il veut mettre le suffrage universel pour l'élection du PDR alors les parlementaires auraient refusé de donner cette légitimité au PDR en leur enlevant le collège électoral. « Les électeurs seront les législateurs d'un jour ». = Tout le monde disait que on ne pouvait faire un référendum mais qu'il fallait passer par l'article 89. » = Cette procédure contraire au texte bafoue le pouvoir parlementaire car ils ne peuvent plus participer à l'élection. [...]
[...] Chaban Delmas de nouveau président de l'AN = le Gaullisme a fait exploser le système des partis CDG veut mettre fin à la politique des blocs : Hostile à l'entrée de la GB dans le marché européen 1963 : signature d'un traité de coopération avec le chancelier allemand 1963 : annonce de la fabrication de la bombe A 1963 : Refus de la France de créer avec l'OTAN une force nucléaire commune (décret de janvier 1964, place la responsabilité d'un déclenchement de guerre nucléaire sous le contrôle du PDR) 27 janvier 1964 : Reconnaissance de la Chine populaire 1966 : se rend en URSS pour créer des relations = casser la prédominance des States Croissance éco = Triomphe politique, économique, et sociale de la France. De Gaulle sait ce que signifie le bicéphalisme. Première campagne présidentielle au suffrage universel direct. Affrontement de personnalités au-dessus des partis politiques. Les français s'aperçoivent qu'il n'y a pas que de Gaulle car avant, on entendait que sa voix. = Cette présidentielle se retourne contre de Gaulle car les français s'intéressent aux concurrents. [...]
[...] Cela se termine par les accords d'Evian, à la suite de l'attentat de l'OAS en 1961. La côte de popularité de CDG est alors à plus de entre 1958 et 1962. Michel Debré, à la suite de ça, considère sa tache terminée, après 3 ans. C'est la seule démission volontaire d'un Premier Ministre (article 8 de la même si on aura la même chose avec Mitterrand et Pierre Mauroy. Toutes les lettres des 1[er] ministres ont été publiées à part Edith Cresson. [...]
[...] La gauche est à la rue. L'abstention a augmenté, passant à 23%. Cela semble dire que les Français se méfient des partis politiques plus que d'une question directe. Jacques Chaban-Delmas est élu comme président de l'AN et va l'être pendant plus de 25 ans par intermittence. Ce nouveau parti, l'UNR, pas fondé sur une culture politique préétablie, va être un objet unique crée pour soutenir le PDR (ex : Macron avec la République en Marche). Ainsi, les députés en 1958 sont appelés le « godillots » car ils votent les yeux fermés. [...]
[...] Ex : Jean Lecanuet De Gaulle voit les sondages le mettre en ballotage et s'investit alors dans la campagne. De Gaulle est élu à 55.2% des voix au second tour. Effritement des majorités par la suite puis le départ de CDG en 1968. Après 1965 = le gaullisme est triomphant et Pompidou évince Giscard de son gouvernement. En faisant cela, Les partis satellites commencent à s'auto-structurer. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture