Republica absenta, Daniel Barbu, Roumanie post-communiste, réalité politique, régime politique démocratique en Roumanie
Daniel Barbu, docteur en histoire de l'Université de Cluj et en philosophie de l'Université de Bucarest, est en présent professeur à la Faculté des Sciences Politiques à l'Université de Bucarest et aussi directeur de l'Institut de Recherches Politiques de l'Université de Bucarest. Pendant 1994 et 1995, il a été directeur des études invité à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris. Il a publié des volumes comme : Manuscrise bizantine in colectii din Romania (1984), Timpul si privirea in civilizatia romaneasca a secolului al XVIII-lea (1996), Sapte teme de politica romaneasca (1997) et aussi des études dans des volumes collectifs et dans des magazines d'histoire, philosophie et science politique.
[...] Republica absenta Daniel Barbu Daniel Barbu, docteur en histoire de l'Université de Cluj et en philosophie de l'Université de Bucarest, est en présent professeur à la Faculté des Sciences Politiques à l'Université de Bucarest et aussi directeur de l'Institut de Recherches Politiques de l'Université de Bucarest. Pendant 1994 et 1995, il a été directeur des études invité à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris. Il a publié des volumes comme : Manuscrise bizantine in colectii din Romania (1984), Timpul si privirea in civilizatia romaneasca a secolului al XVIII-lea (1996), Sapte teme de politica romaneasca (1997) et aussi des études dans des volumes collectifs et dans des magazines d'histoire, philosophie et science politique. [...]
[...] Ce changement a porté un nom : La Constitution de l'année 1991. Le texte législatif rédigé en 1991, représente une création typique et exclusive de l'élite installée au gouvernement après décembre 1989, et ne prend pas en calcul la possibilité de définir la communauté des citoyens, republica comme sujet politique concernant la nouvelle loi.[2] Barbu précise que vue dans cette manière constitutionnelle, la Roumanie, ne peut pas être décrite comme une république, mais comme un Etat avec une forme de gouvernement républicaine, étant donné le fait que le sujet politique est sans aucune doute l'Etat (la Constitution roumaine, art al avec ses frontières, ces citoyens, l'hymne national, la langue officielle, la capitale, etc, et non l'Etat roumain comme un produit juridique du volonté souveraine des citoyens, de vivre ensemble en respectant les mêmes lois au nom du bien commun. [...]
[...] Après l'année 1989, Barbu mentionne l'enthousiasme avec lequel le mouvement partisan se réinvente. Le 31 décembre 1989, le Décret-loi réinvente le multipartisme, décret qui a été modifié en 1996 et 2003, les lois devenant des plus en plus contraignantes pour simplifier le paysage politique Barbu nous précise que les partis politiques postcommunistes ont pris totalement la fonction de représentation politique accomplie par le parti communiste, sans s'assumer aussi les attributions sociales et économiques agies pas celui-ci. En conclusion le texte, présente d'une manière chronologique et bien structurée, et réussit de traiter les principales questions liées au sujet des partis postcommunistes roumaines, de la situation politique après la chute du régime communiste, ainsi que les liaisons qu'on retrouve encore avec l'Ancien Régime. [...]
[...] Barbu constate que l'Etat roumain postcommuniste n'est qu'une république absente. D'une manière structurée, le texte nous porte à partir des origines des premiers partis roumains, jusqu'à la fin du régime communiste, pour montrer le rappel à la tradition que le moment 1990 a signifiée. Le système censitaire, comparé avec celui anglais, les premiers partis de cadre, qui mettaient l'accent sur la qualité, non sur la quantité, le vote universel ou le système de la rotative gouvernementale sont des éléments essentiels qui nous aident à comprendre l'immaturité organisationnelle des partis, mais aussi le contexte dans lequel le Parti Communiste va s'affirmer après le deuxième Guerre Mondiale, comme le premier parti de masse. [...]
[...] BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag 7. BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag 41 BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag 55,69,80,88 BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag 167. BARBU Eugen, Republica absenta Ed Nemira, pag 158. [...]
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