démocratie, chapitre 1, Jean Baechler, homo democraticus, caractéristiques
L'homo democraticus est un homo sapiens c'est-à-dire des gens comme vous et moi physiquement mais avec une mentalité spéciale. Un homo democraticus a comme fondement l'indépendance aussi bien physique que morale, la maitrise de la puissance et cette puissance ne peut être arrêtée que par une puissance plus exercée par une autre personne. C'est une unité politique évoluant dans un état de nature.
[...] Méme si le calcule n'est pas propre à l'homo democraticus c'est un caractère indispensable car il permet la recherche de ses intérêts. On a vu que l'homo democraticus pour poursuivre la réalisation de ses but c'est forgé une personnalité spécifique tourné autour de 3 caractères spécifique selon Jean Baechler, l'indépendance, l'égoïsme et le calcul. Ces 3 caractères sont liés mais ils peuvent être dissociable comme par exemple le calcul qui n'est pas propre à l'homo democraticus, on retrouve ce caractères chez tous les Hommes. [...]
[...] L'indépendance et l'égoïsme vont ensemble pour l'homo democraticus. Car l'indépendance permet l'égoïsme. Les homo democraticus vivent en société mais sans se soucier les uns des autres, c'est un peu comme des molécules (homo democraticus) qui forment un tout (la société) mais sans lien spécial. La recherche d'un intérêt donc la passion permet a l'homo democraticus de contrer la douleur que le manque de la chose rechercher lui provoque, la passion est une forme de reflex physique pour contrer la douleur. [...]
[...] L'homo democraticus veux de plus en plus d'avantage, c'est un de ses but donc il n'a pas de retenue. Il a un comportement de solitaire, avec son indépendance il ne soucie pas des répercutions de ses actions. Il tend à pousser ses avantages aussi loin qu'il le peut et ses intérêts sont infinités (économiques comme le capitalisme d'après la définition de Weber, matériels, moraux comme le bien être ou le pouvoir ou méme symbolique). L'effet pervers de cet égoïsme peut être la malhonnêteté comme par exemple la triche ou le mensonge qui servirait un intérêt recherché par la personne. [...]
[...] L'indépendance : L'homo democraticus forme une unité politique indépendante. Son indépendance lui permet de ne reconnaitre aucune puissance ni autorité supérieur qui pourraient lui borné sa liberté, car l'indépendance d'action lui donne une sorte de carte blanche pour faire ce qu'il souhaite le plus juste à ses yeux. Il peut décider de la guerre ou de la paix seul car pour lui rien ne peut lui être imposé, c'est une sorte de puissance unitaire souveraine. Il n'est esclave physique et mentale de personne, il fait ses choix seul ce qui le rend solitaire car il n'a besoin de personne pour agir, cette séparation avec la société entraine une autre la 2éme caractère de l'Homo Democraticus, qui est l'égoïsme. [...]
[...] Mais cet instinct de calculateur n'est pas propre à l'homo democraticus. Il existe 5 formes de calcul : Le calcul rationnel, comme son nom l'indique fait appel à la raison, c'est que l'homo democraticus connait toutes les variables et toutes les possibilités, il aura donc le choix entre les 2 possibilités expliquer avant. Cette forme de calcul est rare car on ne connait jamais toutes les variables mais c'est la forme la plus pure de calcul. La forme du calcul rationnel approchable par l'Homme en générale et le calcul raisonnable, lui aussi fait appel à la raison mais toutes les données et les variables du problème sont connues qu'avec approximation c'est-à-dire partiellement, le résultat de ce calcul est approximatif car les données pour le faire n'étais pas toutes connues en profondeurs. [...]
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