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« Et ce qui me répugne le plus en Amérique, ce n'est pas l'extrême liberté qui y règne, c'est le peu de garanties qu'on y trouve contre la tyrannie », voilà ce qu'exprime Tocqueville dans sans ouvrage De la démocratie en Amérique.
En effet, Tocqueville est un philosophe et homme politique français qui a vécu au XIXe siècle et est réputé pour être favorable à la démocratie. C'est pourquoi il écrit son ouvrage De la démocratie en Amérique paru en 1835 puis 1840 dans lequel il décrit puis analyse la société américaine des années 1830. Il exprime alors la nécessité de garantir la liberté politique pour ne pas sombrer dans un régime autoritaire comme le despotisme. En effet à cette époque, en France, la révolution de Juillet (ou émeutes des Trois Glorieuses) a donné lieu à la monarchie de Juillet fondée sur la charte de 1830 qui exprime une séparation du pouvoir exécutif du législatif, un élargissement du corps électoral et un encouragement des libertés publiques (presse, religion, etc.). L'Amérique, sur laquelle s'appuie l'auteur, connaît une situation délicate. En effet, entre 1835 et 1836, il y a eu 140 grèves dans l'est des États-Unis.
[...] L'expression d'une dimension humaine plutôt qu'une dimension populaire S'adresse au genre humain et non plus au peuple « j'en appelle seulement de la souveraineté du peuple à la souveraineté du genre humain. » signifie qu'il faut oublier le statut du peuple dans son rôle politique pour raisonner en tant qu'hommes et trouver une solution de bon sens à une loi qui ne conviendrait pas. Exprime que la justice est la loi de la majorité de tous les hommes et non plus la loi d'un peuple. donne la responsabilité des lois aux hommes qui constituent le peuple, dans le but qu'ils prennent conscience de leur rôle majeur dans la société. [...]
[...] De la démocratie en Amérique, tome II, chapitre "Tyrannie de la majorité" - Alexis de Tocqueville (1835) - en quoi pouvons-nous dire que Tocqueville effectue constamment un lien entre le régime politique et la liberté ? « Et ce qui me répugne le plus en Amérique, ce n'est pas l'extrême liberté qui y règne, c'est le peu de garanties qu'on y trouve contre la tyrannie », voilà ce qu'exprime Tocqueville dans sans ouvrage De la démocratie en Amérique. En effet, Tocqueville est un philosophe et homme politique français qui a vécu au XIXe siècle et est réputé pour être favorable à la démocratie. [...]
[...] ] là est le germe de la tyrannie, et je cherche à aller vivre sous d'autres lois. » Et en les justifiant par la situation américaine. Puisque Tocqueville énonce à plusieurs reprises le terme de tyrannie et de liberté, nous venons à nous demander en quoi pouvons-nous dire que Tocqueville effectue constamment un lien entre le régime politique et la liberté. Tocqueville conteste l'attribution d'un pouvoir à un homme ou un groupe d'homme au prix de la liberté puis exprime le désir d'une société nouvelle (II). [...]
[...] En effet à cette époque, en France, la révolution de Juillet (ou émeutes des Trois Glorieuses) a donné lieu à la monarchie de Juillet fondée sur la charte de 1830 qui exprime une séparation du pouvoir exécutif du législatif, un élargissement du corps électoral et un encouragement des libertés publiques (presse, religion, etc.). L'Amérique, sur laquelle s'appuie l'auteur, connaît une situation délicate. En effet, entre 1835 et 1836, il y a eu 140 grèves dans l'est des États-Unis. De plus, le 30 janvier 1835, une tentative d'assassinat du président des États-Unis, Andrew Jackson se produit. Voilà deux évènements majeurs qui démontrent une société déstabilisée. [...]
[...] Refus de Tocqueville de donner le pouvoir à un homme ou à plusieurs par crainte d'abus d'autorité. il prend l'exemple du gouvernement démocratique des États-Unis qui offrent peu de garanties contre la tyrannie et qui oblige le peuple à se soumettre à la majorité puisqu'elle dirige tous les pouvoirs (législatif, exécutif, juridique, public) L'existence du gouvernement mixte remise en cause Un gouvernement mixte est « un régime politique qui combine des éléments de différents types de régimes » (Cornu) Tocqueville soutient son inexistence en affirmant qu'il existe toujours un principe qui domine les autres. [...]
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