L'ancien Régime, Alexis de Tocqueville, féodalité, révolution sociale, révolution politique
L'Etat a une place prépondérante dans toutes les sociétés occidentales. Pour Burdeau, l'Etat ne pourrait être retiré sans compromettre « nos possibilité de vivre ». Il est considéré comme la forme la plus achevé et moderne du pouvoir. Cette forme nouvelle du monopole des pouvoirs publics a acquis sa forme définitive dans une période appelée modernité où on entrevoit la centralisation des pouvoirs dans des organes uniques ayant « le monopole de la violence légitime ». Il est l'aboutissement d'une volonté de rationalisation. Il marque aussi la fin des empires supraéthatiques et de l'ordre féodal.
[...] Dans cet extrait de L'Ancien régime et la révolution. Alexis de Toqueville tente de répondre a la question quel a été l'objet véritable de la révolution ? Quel est enfin son caractère propre ? et y soutient la thèse vue plus haut. La révolution est pour Toqueville tout d'abord la destruction lente de l'ancienne société qui aboutit a une nouvelle forme d'autorité Destruction de l'ancienne société Il est tout d'abord intéressant de décrire la façon dont la révolution française, et indirectement la naissance de l'Etat est en premier lieu la destruction d'une société ancienne caractérisée par une autorité absolue et l'ordre féodal Pour Toqueville il s'agit d' abolir ces institution politiques qui, pendant plusieurs siècles, avaient régné sans partage chez la plupart des peuples européens A. [...]
[...] La modernité et la naissance de l'état c'est aussi une émencipation des traditions et de la coutume. Pour Toqueville les institutions remises en question plus haut dans la demonstration avaient, de plus, sugéré une foule d'idée, de sentiments, d'habitudes, de mœurs, qui leurs étaient comme adhérantes Ainsi, l'œuvre de la révolution et de l'émancipation de l'individu est d'autant plus grande que les anciennes institutions s'imicaient partout. La révolution, d'apres toqueville, est d'autant plus grande que ce qu'elle détruisait touché a tout et faisait en quelque sorte corps avec tout B. [...]
[...] Ainsi les terres se partage comme une propriété privée et avec elles les hommes qui y travaillent. La souverainté est ici émiété entre les differents seigneurs. La puissance n'est pas monopolisée ce qui conduit a une insécurité juridique permanente. Au dela de la pluralité politique on assiste aussi a une pluralité juridique : tribunaux de paires pour les seigneures, tribunaux exesiastique pour les religieux ou encore les tribunaux municipaux. Deux forces contre ça : la geurre et le droit Bataille de boutville puis le roi devient fontaine de justice et c'est le debut de la souveraineté. [...]
[...] Commentaire de texte : Alexis de Tocqueville extrait de L'ancien Régime (p79 à 81) L'Etat a une place prépondérante dans toutes les sociétés occidentales. Pour Burdeau, l'Etat ne pourrait être retiré sans compromettre nos possibilité de vivre Il est considéré comme la forme la plus achevé et moderne du pouvoir. Cette forme nouvelle du monopole des pouvoirs publics a acquis sa forme définitive dans une période appelée modernité où on entrevoit la centralisation des pouvoirs dans des organes uniques ayant le monopole de la violence légitime Il est l'aboutissement d'une volonté de rationalisation. [...]
[...] C'est une monarchie absolue qui s'inscrit dans le respect des coutumes. On peut associer la modernité à la poursuite des idéaux développés les Lumières dont la lutte contre l'arbitraire de l'autorité fait parti. Le système politique prérévolutionnaire est aussi inscrit dans une coutumes reconnaissant a certains des priviliège que les autres n'ont pas. Pour Toqueville ses institutions ont r »régné sans partage L'aristocratie est fondée sur un système de caste qui gouverne la société et a qui sont accordé des privilèges. [...]
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