Neutralité des médias, Québec, OTAN, La maîtresse d'école, non-neutralité
Nous allons étudier un dossier traitant sur la neutralité des médias au Québec, réalisé par le groupe de recherche La maîtresse d'école. Ainsi, la question fondamentale qui est posée dans ce dossier est de savoir si de nos jours, la presse procure une information juste et objective.
Au fil du texte nous découvrons que la thèse soutenue par les auteurs est que de nos jours, la non-neutralité et non-objectivité des médias (aussi bien face au contenu des informations que face à la forme) au Québec est belle est bien présente, une désinformation faussée par les agences de presses occidentales.
[...] De nos jours les exemples et les avis divergent envers cette question. Et l'actualité ne fait que nourrir ce débat qui semble cruciale. Comme en France, où les locaux du journal Charli Hebdo ont été brûlés, car celui-ci allait sortir une caricature de Mahomet. Sachant que dans la religion musulmane il est interdit de représenter Mahomet, Charli Hebdo avait-il tort de publier cette caricature ? Certains répondront que non, car la liberté d'expression en France est une chose primordiale et précieuse, et que tant que le dessin n'est pas diffamatoire il n'y a aucune raison de ne pas le publier. [...]
[...] Après avoir vu les causes de la partialité des médias au Québec, nous allons voir sous quelles forment cette partialité se dessine. Après l'étude de ce dossier, nous remarquons que l'espace accordé, la disposition, le titre des informations n'est pas traité de la même façon selon la nouvelle mais aussi selon le journal en question. En effet, ce qu'essayent de démontrer les auteurs de ce dossier, est que, comme dit précédemment ce sont les pays occidentaux qui dominent la presse. [...]
[...] Il reste donc des sujets tabous et Fabrice Bousteau, rédacteur en chef de «Beaux-Arts Magazine» le disait très bien : Dès qu'on touche à la religion, au sexe et à l'enfant, on est dans le sensible, le tabou, avec le risque de censure ou d'autocensure. Au-delà de la censure règne un sentiment de parti pris des médias. Les Marxistes diraient que cela paraît normal puisqu'il est impossible d'atteindre la neutralité en ce qui concerne les sciences sociales. Alors, c'est au lecteur de développer son esprit et d'aller au-delà des informations fournies de toutes pièces par on ne sait qui. [...]
[...] Noam Chomsky, professeur au Massachusetts Institute of Technology pourrait vous répondre que, dans un pays où prône la liberté d'expression comme les Etats-Unis son livre bain de sang qui dénonçait et prouvait l'endoctrinement, le prosélytisme de l'information américaine. Propagande qu'il a osé comparer à celle soviétique ou encore chinoise a connu la censure ! Ainsi, la cause principale de la partialité, et de la non-objectivité des médias au Québec est tout simplement la source des informations. Source qui provient principalement de pays occidentaux, où le politiquement correcte règne encore grandement. [...]
[...] Prenons un exemple, nous avons remarqué précédemment que les trois pays où s'alimentent les médias québécois faisaient partis de l'OTAN (alliance militaire dont les Etats-Unis connaissent une forte suprématie), il est très rare que ces pays publient un article dénonçant la politique ou l'action de l'OTAN, les jeux sont faussés (bien que certains journaux essayent de mener avec objectivité leurs enquêtes), la politique prendra forcément le dessus. Si, les jeux sont faussés dans ces trois pays, ils le seront donc forcément au Québec. De nos jours, et dans les pays dit occidentaux la liberté d'expression prône. Elle est devenue une chose primordiale dans les pays développés. Mais, ne connaît-elle pas de limites ? Quand, justement nous voyons qu'au Québec, les informations internationales ne sont nourries que par quatre grandes agences de presses occidentales n'est-ce pas une limite de la liberté de presse? [...]
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