Commentaire du texte: « La prise en considération de représentations contradictoires, un outil majeur du raisonLnement géopolitique », Y. LACOSTE, in Hérodote (2012/3 (n° 146-147)
[...] L'école française et la nécessité du raisonnement contradictoire : - Partir des différences entre l'approche géographique et l'approche géopolitique afin de cristalliser cette contradiction. Conseil : utiliser vos lectures pour illustrer ce propos en reprenant des définitions types (voir Olivier ZEJEC ou Martin MOTTE) - Bien parler des différences entre l'approche française et la geopolitik allemande B. La mise en œuvre du raisonnement géographique dans la géopolitique - Revenir sur cette notion « d'utilité » du raisonnement géographique : le territoire - La contradiction majeure : Le droit des peuples rivaux sur un même territoire = grandes polémiques géopolitiques (avec vos lectures, vous pouvez illustrer cela sans mentionner le conflit israélo arabe (toutefois Conseil : ne pas hésiter à mentionner l'intervention de vos camarades après votre exposé concernant le conflit israélo-arabe, comme cela vous replacez votre intervention dans le cadre général et la thématique de votre cours) * Conclusion et réponse à la problématique : - Analyse des représentation = grille d'analyse mise à la disposition de la géopolitique afin d'étudier les conflits. [...]
[...] Ex : pour étudier la Première Guerre mondiale : Si l'on suit Y.Lacoste, il vaut mieux ne pas être français ou allemand si l'on veut comprendre le conflit. = Argument soumis à la discussion (Conseil : vous pouvez mentionner dans votre exposé votre accord ou non sur la question, ou laisser cela pour une discussion dans votre TD et mentionner que cette approche se retrouve également dans d'autres sciences humaines comme la sociologie et l'anthropologie où l'extériorité est toujours synonyme d'objectivité pour analyser une situation). II. Le raisonnement contradictoire, un outil au service de la science géopolitique : A. [...]
[...] La géopolitique, des représentations ancrées sur un territoire : - Bien montrer que la science géopolitique s'inscrit dans le « sillon » de la Science en général, tant des sciences dites « durs » (l'exemple des sciences naturelles) que des sciences dites « molles », c'est à dire le champ des sciences humaines dont la géopolitique constitue un sous-champ. - Tentative d'Yves Lacoste de légitimer la science géopolitique qui inscrit des représentations sur un territoire. Conseil : Y.Lacoste parle de : « La Nation, le Peuple sont des représentations politiques chargées de fortes valeurs » (Lacoste, 2013) = Vous pourriez peut être illustrer ce propos par un ou deux exemples issus de vos lectures. [...]
[...] Objectif du texte : C'est un texte à valeur épistémologique qui a pour objectif de légitimer la science géopolitique (et l'éternel débat entre Sciences dites « dures » et Sciences humaines). * Problématique et annonce du plan : (À la suite de votre introduction). C'est pour cette raison qu'à la lecture de l'extrait d'Yves Lacoste, nous pouvons nous demander dans quelles mesures l'analyse des représentations permettent-elles d'analyser les conflits ? Ainsi, dans une première partie . (Enchaîner avec l'annonce du plan). [...]
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